The Green Hornet, super héros qui n’appartient ni à Marvel, ni à DC Comics, va avoir droit à son remake. A l’origine série des années 1960 portée par Bruce Lee, le frelon vert a été adapté au cinéma en 2011 par Michel Gondry. La Paramount a officialisé le remake.
L’histoire de The Green Hornet : Il est passé de playboy millionnaire à justicier masqué. Grandissant avant la Deuxième Guerre Mondiale à Chicago, Britt Reid est le fils de Daniel Reid, l’éditeur riche du journal »The Daily Sentinel ». Quand on lui demande de suivre les traces de sont père, il décide à la place de voyager dans d’autres pays pour entreprendre du travail humanitaire. Ses aventures lui révèlent rapidement la cruauté horrible et la corruption dans le monde. En Chine, il vient à la rescousse d’un homme nommé Kato, et les deux deviennent des bons amis et retournent ensemble en Amérique. À son retour, Britt découvre que son père a été assassiné. Frustré par la lenteur de la justice et la corruption de la police, Britt et Kato deviennent des super-héros masqués, utilisant la vaste richesse de Britt pour subventionner leurs exploits.
Le film de Michel Gondry porté par Seth Rogen était un divertissement agréable à défaut d’être réellement original et personnel. La Paramount a officialisé il y a quelques jours un remake dirigé par Gavin O’Connor (Warrior). Le studio cherche à lancer une nouvelle saga, plus violente, plus sombre, capable de rivaliser avec les grosses productions supers héroïques. Gavin O’Connor s’est même étendu sur la question :
« J’ai toujours voulu ce film, et créer cette franchise, depuis que je fais du cinéma. Quand j’étais gamin, mes amis étaient fans de Superman et Batman, pourtant le seul qui trouvait grâce à mes yeux, c’était le frelon vert. Je l’ai toujours trouvé badass justement parce qu’il n’avait pas de pouvoirs, et qu’il était un criminel aux yeux de la loi au moins. J’avais l’impression que tout ça était très réel. Imaginez grimper l’Himalaya et ne jamais pouvoir le dire à personne. Voilà ce qu’était la vie de Britt et Kato. Tout ce qu’ils font, ils ne peuvent rien en tirer de profitable. »
