Tag: Zar Amir Ebrahimi

Film exigeant, Tatami a bénéficié d'une distribution sur 145 copies grâce aux efforts déployés par Metropolitan, qui croyait dans le film de Guy Nattiv et Zar Amir. Et ceux qui l'auraient loupé dans les salles pourront aujourd'hui le découvrir dans des conditions optimales grâce à un superbe Combo Blu-ray + DVD.

Lundi dernier, le 20 janvier, au théâtre du Trianon à Paris, il n'y avait que des gagnants. Avant la prochaine étape du mécanisme d'élimination impitoyable dans la course aux César, l'ensemble des trente-deux révélations a pu se sentir encore un peu comme de futurs lauréats.

Efficace sans être révolutionnaire, Tatami attire énormément de sympathie par le dynamisme de sa mise en scène (malgré une économie de moyens apparente) à travers un message puissant et une foi aveugle dans le pouvoir de représentation du cinéma.

Toujours autant en décalage par rapport aux autres prix de cinéma, les Lola German Film Awards n'ont annoncé leurs nominations que vendredi dernier, le 24 mars. Elles ont été communiquées depuis le cinéma International à Berlin par la secrétaire d'état à la culture Claudia Roth, ainsi que par les présidents de l'Académie du cinéma allemand l'actrice Alexandra Maria Lara (La Syndicaliste) et le réalisateur Florian Gallenberger (Colonia).

La détresse d'une migrante réveille l'humanité d'un homme, veuf depuis peu, et l'amène à se mettre en danger pour sauver une vie humaine.

Après deux années confinées ou en tout cas en petit comité à Berlin, les European Film Awards prendront le large pour leur 35ème cérémonie. En effet, ce sera tout au nord de l'Europe, à Reykjavik en Islande, qu'elle aura lieu dans un peu plus de trois semaines, le samedi 10 décembre.

Faux film iranien, "Les nuits de Mashhad, film tout à la fois passionnant et instructif", a conquis les spectateurs du festival de Cannes et profondément irrité les autorités iraniennes.

La 75ème édition du Festival de Cannes s'est terminée hier soir avec l'annonce de son palmarès. Après deux années chamboulées par la crise sanitaire, ce rendez-vous incontournable du cinéma mondial avait peu ou prou retrouvé son lustre du monde d'avant.