Tag: Woody Harrelson
Test DVD : Sans filtre
Ça ne fait pas toujours dans la finesse, mais la charge est quand même le plus souvent très jouissive.
Test Blu-ray : Sans filtre
Après avoir obtenu la Palme d’Or en 2017 avec The Square, excellente critique du monde de l’art contemporain, Ruben Östlund s’attaque maintenant aux très grandes fortunes avec Sans filtre, un jeu de massacre égratignant la Jet Set...
Critique Express : Mission régénération
"Mission régénération" est à la fois un film passionnant à regarder et un film important, ne serait-ce que par toutes les interrogations qu'il génère chez les spectateurs et qui en amèneront beaucoup à rechercher des réponses.
Test Blu-ray : Larry Flynt
Larry Flynt est un biopic consacré au créateur de la revue Hustler – un personnage tellement extravagant et « Bigger than life » qui sied de la meilleure manière qui soit à ce genre de film. Le genre du Biopic n’aime pas les personnages tièdes...
Critique : Sans filtre
Après avoir obtenu la Palme d’Or en 2017 pour The Square, excellente critique du monde de l’art contemporain, Ruben Östlund s’attaque maintenant aux très grandes fortunes.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Insaisissables
Fort de ses précédentes productions US, le frenchie Louis Leterrier (Le Choc des Titans, L’Incroyable Hulk…) revient avec Insaisissables, un film dans la veine du divertissement spectaculaire US avec un casting international plutôt prometteur.
Oscars 2022 : les présentateurs
Le vote est clos depuis deux jours. Et dans peu de temps, la nuit de dimanche à lundi, heure de Paris, le rideau se lèvera sur la 94ème cérémonie des Oscars.
Test Blu-ray : Les blancs ne savent pas sauter
Quand Les blancs ne savent pas sauter est sorti sur les écrans du monde entier en 1992, les films sur le basket n'étaient pas monnaie courante. Bien sûr, il y avait bien eu quelques essais dans les années 70
Test Blu-ray : Midway
Il fut un temps où Roland Emmerich était, sans exagération aucune, le roi d’Hollywood. Chacun de ses nouveaux films était alors attendu avec ferveur par un public toujours au rendez-vous.
Test Blu-ray : Retour à Zombieland
C’est suffisamment rare pour être souligné : la carrière de Retour à Zombieland au cinéma s’est montrée plus convaincante que celle du film original il y a dix ans. Bienvenue à Zombieland avait en effet généré 102 millions de dollars de recettes et attiré seulement 271.000 français dans les salles, sa suite en revanche a cumulé 113 millions au box-office international, et convaincu 582.000 français de faire le déplacement. Ce joli succès pourra être attribué à un timing parfait entre les deux films, mêlé à un sentiment d’attente indéniable de la part du public. Et ce public, Ruben Fleischer et ses scénaristes Matt Rheese et Paul Wernick le chouchoutent, le caressent dans le sens du poil en lui offrant pile ce qu’il est venu voir, quitte à donner par moments l’impression de manquer d’audace et de surprises.
Test Blu-ray : 3 Billboards – Les panneaux de la vengeance
Si le cinéma de Martin McDonagh a toujours été parfaitement sympathique, on n'ira pas jusqu'à clamer haut et fort que ses deux premiers films -pour mémoire Bons baisers de Bruges (2008) et 7 psychopathes (2012)- laissaient augurer d'une quelconque manière la claque ressentie à la vision de 3 Billboards : Les panneaux de la vengeance. Car en abordant de front un genre et une tonalité devenus depuis quelques années la chasse gardée des frères Coen, on ne s'attendait pas du tout à ce que le cinéaste parvienne à ce point à s'approprier cet univers, évoluant sur un fil très ténu entre l'humour très noir et la crudité du « réel », qui fait régulièrement et brutalement son irruption dans le récit.
Critique : Solo – A Star Wars Story
Star Wars (1977) : assis à la table d’un bouge, La Cantina de Mos Esley, sur une planète aux confins de la galaxie, un homme se présente comme le capitaine du vaisseau le plus rapide de la galaxie. Quelques minutes plus tard, il élimine un homme de main un peu trop insistant. En quelques phrases, avec sa dégaine et ses expressions, Han Solo s’impose comme un charismatique contrebandier, avec une « gueule » et du bagout, qui en l’espace d’une trilogie (puis d’un baroud d’honneur trente ans plus tard) devient un des plus célèbres personnages du grand écran, indissociable de son acteur. Drôle d’idée donc, en 2018, de vouloir expliquer les origines de ce simili cow-boy, dans un film sans Harrison Ford. Si les épisodes I, II et III de Star Wars émanaient de la volonté du papa de la trilogie d’étendre son univers en en expliquant les origines, connaître celles de Solo était loin d’être nécessaire. Si seulement c'était son seul défaut ...