Tag: William Friedkin
Test Blu-ray : Sorcerer – Le convoi de la peur
Embarquant le spectateur aux côtés de quatre truands en cavale pour des raisons diverses, Sorcerer – Le convoi de la peur est un film qui, comme Les douze salopards avant lui, ne se pose pas la question de la morale, préférant miser sur l’humanité du spectateur et sur un principe d’identification à ces anti-héros
Ben Wheatley dirigerait une nouvelle adaptation du Salaire de la peur
Le réalisateur anglais serait en négociations pour diriger un remake du classique de Henri-Georges Clouzot, Le Salaire de la peur, sorti en 1953, un...
Les frères Coen, Friedkin, Spielberg : leurs nouveaux projets
Alors que Hail, Caesar ! (attendu en salles en France pour le 17 février en France) avec son incroyable distribution (George Clooney, Channing Tatum,...
Critique : Les Dossiers secrets du Vatican
Le Pape Jean-Paul II défilait-il en nuisette ? Jean-Paul 1er fut-il assassiné par la mafia italienne dans une lutte de pouvoir au sein de la famille Corleone ? Le Pape François est-il un dangereux anarchiste ? Rien d'aussi original dans ces dossiers secrets, des affaires troubles qui opposent les forces du clergé aux forces démoniaques mais heureusement le porte-parole du Vatican (Djimon Hounsou) se penche sur le sujet dans ce film qui pourrait être le premier jalon d'une nouvelle franchise, les dossiers Warren de l'exorcisme en somme. C'est en tout cas la première idée qui nous vient jusqu'à l'explication finale de l'identité de l'entité qui s'en prend à la pauvre Angela Holmes (aucun rapport avec Conan Doyle).
Critique : Sorcerer
La filmographie de William Friedkin est ponctuée d’œuvres qui n’ont pas su tenir toutes leurs promesses, d’un point de vue soit artistique, soit commercial. Depuis Les Garçons de la bande, l’un des premiers films à oser présenter des personnages homosexuels sous un jour plutôt positif, quoique désespérément caricatural, jusqu’à ses deux derniers films, Bug et Killer Joe qui n’ont pas enthousiasmé Hollywood alors qu’ils montraient une vigueur créatrice insoupçonnée chez le réalisateur bientôt octogénaire, en passant par le coup double de succès démesurés de French Connection et L’Exorciste, puis un autre démêlé avec la communauté homosexuelle autour de Cruising et la survie de sa carrière sous perfusion grâce au soutien de son épouse, dirigeante de Paramount, le parcours en dents de scie du réalisateur est presque plus passionnant que ses films pris séparément.
CEFF 2015 : palmarès et bilan
Après une semaine de cinéma (du 10 au 16 juin), excellent choix pour la clôture de la quatrième édition du Champs-Élysées Film Festival avec...
Champs Elysées Film Festival du 10 au 16 juin
Ouverture hier de la 4ème édition du Champs Elysées Film Festival, dédié en particulier au cinéma américain (mais pas seulement) qui a lieu du...
Critique : A Most Violent Year
Après Margin Call, un drame bavard à Wall Street et son opposé absolu le silencieux All is lost avec Robert Redford perdu seul en mer, le cinéaste J.C.Chandor s'impose avec ce qui apparaît comme un croisement de ces deux approches cinématographiques comme l'un des auteurs les plus importants du cinéma américain contemporain avec ce film noir à la violence feutrée.
Critique : La French
Librement inspiré de faits réels qui ont marqué les années 70, ce film noir à l'ancienne rend efficacement hommage à une figure sortie d'un western qui a mis à mal le crime organisé sur le territoire phocéen avant de finir assassiné le 21 octobre 1981 à l'âge de 38 ans.
Cinémathèque Française : Toute la mémoire du monde
Après une première édition l'an dernier qui avait permis de donner un coup de projecteur sur les restaurations récentes et autres images d'archives, la deuxième s'annonce aussi riche en bonheurs de cinéma, même si l'on peut s'interroger sur la pertinence du nom de cette manifestation : comment peut-on si facilement lui donner cette appellation de Toute la mémoire du monde alors que l'amnésie semble être au goût du jour ?
Nicolas Cage, homme en colère chez William Friedkin ?
Habitué aux prestations sans lumière, Nicolas Cage pourrait faire équipe avec un cinéaste pour le moins irrégulier dans I Am Wrath.
Killer Joe
Chris, 22 ans, minable dealer de son état, doit trouver 6 000 dollars ou on ne donnera pas cher de sa peau. Une lueur d’espoir germe dans son esprit lorsque se présente à lui une arnaque à l’assurance vie. Celle que sa mère a contractée pour 50 000 dollars. Mais qui va se charger du sale boulot ? Killer Joe est appelé à la rescousse. Flic le jour, tueur à gages la nuit, il pourrait être la solution au problème. Seul hic : il se fait payer d’avance. Chris tente de négocier mais Killer Joe refuse d’aller plus loin. Il a des principes…jusqu’à ce qu’il rencontre Dottie, la charmante sœur de Chris.