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Tag: Tilda Swinton

European Film Awards 2024 : les nominations

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Franchement, ce n'est pas vraiment ainsi que nous avions compris l'annonce de l'Académie du cinéma européen début octobre en faveur des documentaires et des films d'animation !

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Trois mille ans à t’attendre

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En attendant Furiosa, George Miller s’est laissé aller à une petite récréation en mode « Mille et une nuits » avec Trois mille ans à t'attendre : un projet extrêmement ambitieux, doublé d’une claque visuelle de tous les instants...

Critique : Memoria

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Quel que soit le jugement que vous portiez jusqu'à présent sur les films de ce réalisateur thaïlandais, vous pouvez prendre le risque de vous frotter à "Memoria" : le jeu en vaut la chandelle.

Venise 2020 : Lions d’honneur à Ann Hui et Tilda Swinton

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Pendant que les uns, du côté de la Côte d'Azur, occupent tant bien que mal l'espace médiatique faute de festival physique, les autres continuent vaille que vaille à préparer leur prochaine édition physique. C'est dans ce contexte pour le moins incertain, en raison de l'épidémie mondiale du coronavirus, qu'est tombée hier l'annonce des deux lauréates des Lions d'or d'honneur du Festival de Venise.

Test Blu-ray : The Dead don’t die

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Après s'être attaqué il y a quelques années au western puis au film d'action, Jim Jarmusch investit le film de Zombies et l'adapte à son style, à son univers unique. Et il n'y a pas le moindre doute à avoir, The dead don't die, c'est du Jarmusch pur jus...

Test Blu-ray : Suspiria (2018)

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Annoncé depuis de nombreuses années maintenant, le projet de remake de Suspiria a fait réagir en masse les amateurs de cinéma de genre à travers le monde entier. Le film original de Dario Argento est un des plus grands chefs d’œuvres des 70s...

Critique : A beautiful day

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Six années séparent We need to talk about Kevin, le précédent long métrage de Lynne Ramsay, du film présent. Ce délai inhabituellement long, mais habituel chez la cinéaste écossaise, s’explique par le perfectionnisme dont elle peut faire preuve, tant dans le choix de ses sujets, que dans la façon dont elle envisage la mise en scène. N’ayant pu voir pour le moment ses deux premiers longs, Ratcatcher (1999) et Le voyage de Morvern Callar (2002), il sera difficile de se prononcer sur la qualité d’ensemble de sa filmographie, mais une chose est certaine, il est tout à fait aisé de voir, à travers ses deux derniers travaux, une personnalité forte du cinéma contemporain, du genre à provoquer des réactions extrêmes chez le spectateur, par sa radicalité formelle autant que thématique. Là où le précédent décrivait l’explosion d’une cellule familiale, par un adolescent ayant décidé, et ce dès son plus jeune âge, de littéralement pourrir la vie de sa mère campée par une exceptionnelle Tilda Swinton, jusqu’à commettre un acte irréparable, le film qui nous intéresse ici a tout l’air, sur le papier, du revenge movie mettant en scène cette fameuse figure du justicier chère à un tout un pan du cinéma américain, et popularisée par le vigilante incarné par Charles Bronson dans la série mythique tout autant que décriée des Death Wish. Mais bien évidemment, les cinéphiles connaissant un peu le travail de cette cinéaste se doutaient bien qu’elle ne ferait pas les choses comme tout le monde, en livrant un simple thriller racoleur flattant les bas instincts du spectateur. Depuis sa présentation triomphale à Cannes, l’excitation était de mise, et certains n’hésitaient pas à sortir LA référence en la matière, celle à même de convaincre les plus sceptiques, à savoir le chef d’oeuvre de Martin Scorsese, Taxi Driver. Évidemment, il s’agit presque du seul film « prestigieux » du genre, à savoir que même les plus bien pensants des critiques cinéma, exécrant la morale jugée nauséabonde de la plupart des représentants de ce sous genre, n’osent la remettre en cause idéologiquement, l’ambiguïté du personnage l’exemptant, du moins aux yeux de cette critique, de toute dérive condamnable. Mais cette comparaison un peu facile, tout comme celle à Drive, autre thriller tendance présenté avec grand bruit au festival de Cannes il y a quelques années, risque au final de nuire plus qu’autre chose au film, qui se suffit à lui-même,  trouvant son propre ton, grâce à la personnalité artistique hors normes de son instigatrice. Il faut donc y aller avec un esprit vierge de toute attente, et prêt à se laisser transporter par son ambiance si particulière …

Festival Lumière 2017 : la sélection officielle

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Paris est incontestablement la capitale française du cinéma. Nulle part ailleurs en France, les spectateurs peuvent bénéficier d'un si large choix de films, sorties récentes et œuvres du patrimoine, à un prix abordable et à presque chaque heure de la journée. Il existe cependant deux périodes par an, où cette hégémonie cinéphile s'effrite quelque peu : au mois de mai, lorsque les critiques se précipitent au Festival de Cannes et – dans une moindre mesure et principalement pour les férus de classiques d'époques révolues – en octobre, pour le Festival Lumière à Lyon.

Critique : Jubilée (Derek Jarman)

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Ce mercredi 21 juin sort dans un coffret DVD ainsi qu’en salle, un hommage à Derek Jarman. Cinéaste anglais, figure punk, anarchiste et militant LGBT, il aura entre autres révélé Tilda Swinton aux yeux de tous. Ce sont quatre de ses films que vous pouvez (re)découvrir : Last of England, Sebastiane, La tempête, et enfin Jubilée, son deuxième film.

Cannes 2017 : Okja

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Les films coréens, ou du moins beaucoup de ceux qui sont distribués en France, nous ont habitué à mettre en scène des satires sociales, surtout concernant la société coréenne elle-même. Pour rester chez Bong Joon-ho, on peut ainsi se rappeler des policiers violents de Memories of murder ou du gouvernement réprimant les manifestations à la fin de The Host ; plus récemment, Tunnel de Kim Seong-hoon (blockbuster de l'été 2016 au pays du matin calme) nous montrait à quel point la (sur)vie d'un homme pouvait se retrouver liée à l'image que voulait se donner un gouvernement et aux intérêts d'entreprises privées.

Cannes 70 : Souvenirs d’un cinéphile espagnol sur la Croisette

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Critique : Doctor Strange

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En termes de sophistication, le reflet filmique de l’univers Marvel n’a pas encore dit son dernier mot. Alors que l’on pouvait noter une fâcheuse tendance à l’uniformisation lénifiante lors des aventures de super-héros les plus récentes, celles des Avengers en tête, l’entrée en la matière de Doctor Strange, le plus cérébral des justiciers du futur, fait preuve d’une certaine originalité.