Tag: Terrence Malick
En librairie de cinéma depuis le mois d’avril 2024
Peu importe que ce soit pour les vacances de printemps, appartenant désormais au passé, ou en préparation des ponts du mois de mai, actuellement en cours, les éditeurs français et étrangers des livres de cinéma ont abondamment fourni leur escarcelle en avril, afin de vous adoucir ces jours de repos par la lecture.
En librairie de cinéma depuis le mois de février 2023
Même pendant le mois le plus court de l'année et même en pleine période de vacances / grèves, les éditeurs français de livres de cinéma ne chôment pas. Fidèles à leur réputation de formidables passeurs de la passion du cinéma par la page écrite interposée, ils nous gâtent une fois de plus avec quasiment un livre par jour à bouquiner !
Cannes 2019 : Le bilan de Jean-Jacques
Les gros coups de cœur : "For Sama", un documentaire bouleversant de Waad al-Kateab et Edward Watts, tourné à Alep pendant les bombardements et "The Halt", un film de 4 h 39 du philippin Lav Diaz, très fort et très beau.
Test Blu-ray : Song to Song
Sensible, grandiose, bouleversant, Song to Song fait partie de ces films qui ont tendance, lorsqu'ils se terminent, à provoquer chez le spectateur un sentiment de vide quasi-cosmique, l'impression diffuse et durable d'avoir vu une œuvre à la fois monumentale et presque trop « grande » pour lui – comme si même le fait d'en parler -et encore plus d'en rédiger une critique- était vain, désespérément vain dans le sens où le film par lui-même exprime déjà tout, et d'une façon autrement plus limpide que nous ne pourrions jamais l'approcher avec des mots. Comme tous les films de Terrence Malick ou presque, Song to Song se « vit » beaucoup plus qu'il ne s'analyse ou ne se raconte. C'est rare dans une vie de cinéphile, quand un film parvient à lui-seul à imposer le silence, surtout de la part de cinéphiles aussi bavards que nous autres sur critique-film, qui aimons tout particulièrement, comme tous les critiques, parler pour ne rien dire au final de plus que quelques évidences.
Critique : Premier Contact
Voir Denis Villeneuve, grand cinéaste contemporain pratiquant un cinéma totalement affranchi des diktats des gros studios, sachant allier somptuosité de la forme et faculté à interroger notre morale en confrontant ses personnages à des situations radicales, s’attaquer à la science fiction, avait forcément de quoi provoquer l’excitation des spectateurs en manque de spectacle intelligent. Dépeignant la fameuse arrivée sur Terre de vaisseaux extra-terrestres dont nul ne sait s’ils sont là avec des intentions pacifiques ou pour détruire l’espèce humaine, on peut dire qu’il investit un genre usé jusqu’à la corde, déjà riche d’œuvres définitives sur le sujet. On pense bien évidemment à l’ultime Rencontres du 3ème type, du moins dans un premier temps. Le Contact de Robert Zemeckis n’est également pas loin, avec cette linguiste chargée d’interpréter les paroles d’entités dont l’homme ne peut s’empêcher, fidèle à ses principes guerriers, de se méfier, et d’envisager leur anéantissement pur et simple. Mais au lieu de broder tranquillement sur des thèmes déjà maintes fois abordés par le cinéma de science fiction, Denis Villeneuve, fidèle à sa vision sans compromis du cinéma, décide d’étirer sur tout le film les ultimes minutes du chef d’œuvre de Spielberg. Ce qui peut laisser redouter un pensum verbeux et prétentieux sur le papier, se transforme, par l’intelligence hors normes du cinéaste et sa croyance infinie en le pouvoir du médium cinématographique, en œuvre d’art de grande ampleur, instantanément majeure.
Critique : La Ligne rouge
Le cas Terrence Malick a été perçu d’une manière sensiblement différente au moment de la sortie de La Ligne rouge il y a près de dix-huit ans par rapport à maintenant, quelques heures à peine après la présentation de son nouveau film au Festival de Venise. A l’époque, tout un mythe s’agençait autour du réalisateur, qui revenait alors au cinéma après un long hiatus, pour ce qui n’était que son troisième film en un quart de siècle.
Intégrale Terrence Malick aux Fauvettes en août
Alors que les super-héros Marvel y sauveront encore le monde pendant deux semaines et que les quatre volets de la passion selon Meryl Streep entament leur dernier tour des salles, le nouveau cycle au cinéma de répertoire Les Fauvettes vient d’être dévoilé. Il s’agit d’une intégrale des sept films du mythique réalisateur américain Terrence Malick, dont le chef-d’œuvre La Ligne rouge bénéficiera d’une ressortie nationale.
Un nouveau projet pour Terrence Malick
Le 9 août 1943 l'autrichien Franz Jägerstätter, père de trois enfants, fut décapité à la prison de Brandenbourg pour avoir refusé de combattre dans...
Test Blu-ray : Knight of cups
Avec Knight of cups, Malick décide de balader sa steadycam auprès d’un dandy quasi-muet évoquant l’amour en off, dérive au fil d’un flot d’images sublimes composant autant de rimes nous donnant « sa » variation sur toute une série de lieux communs sur la vie et l’amour.
Voyage of time : retrouvailles Malick – Morricone
C'est un peu la news inattendue et sacrément excitante de la semaine. Terrence Malick, qui enchaîne les projets depuis The Tree of Life et...
Galerie photos : les hommages de Deauville 2015
À l'exception du réalisateur (toujours si invisible) Terrence Malick et de Robert Pattinson qui s'est décommandé quelques jours avant sa venue, tous les artistes...
Festival de Deauville 2015 : programme complet
Au programme de cette 41ème édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville qui aura lieu du 4 au 13 septembre, des films révélés...