Tag: Stephen Lang
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Avatar
Avatar, James Cameron en avait écrit un premier jet en 1994, et prévoyait de tourner son ambitieuse odyssée de l’espace après avoir terminé Titanic. Mais la technologie n’était pas prête. Alors il a attendu pendant une dizaine d’années...
Test Blu-ray : La Manière forte
S'il n'atteint certes pas l'étrange état de grâce du film précédent de Badaboum Badham, La manière forte n'en demeure pas pour autant un film inintéressant.
Test DVD : La manière forte
Que demande-t-on à un film comme "La manière forte" ? D’avoir du rythme, de présenter des séquences d’action et des poursuites en voiture, de donner sa ration de frissons aux spectateurs tout en jouant sur des scènes au potentiel comique et d'autres au caractère sentimental et, surtout, sur la manifeste incompatibilité entre les deux personnages principaux.
Test Blu-ray : Rogue warfare 3 – La chute d’une nation
Après un deuxième opus légèrement moins convaincant que le premier, Rogue Warfare 3 : La chute d'une nation permet à Mike Gunther de redresser la barre dans la dernière ligne droite de sa saga venue de nulle part. Ce n'est pas bien sûr que ce troisième épisode soit à proprement parler une révolution, mais il rectifie sans le moindre problème les petits soucis narratifs du film précédent, qui donnait un peu l'impression de faire du sur-place pendant une heure et demi.
Test Blu-ray : Rogue warfare 2 – En territoire ennemi
Reprenant tout pile là où s'arrêtait le premier opus, Rogue warfare : En territoire ennemi replonge le spectateur en plein Moyen-Orient, aux côtés de la bande de mercenaires internationaux qui composait le groupe de soldats d'élite du premier film.
Test Blu-ray : Rogue warfare – L’art de la guerre
Le phénomène est apparu au début du vingtième siècle, avec des films tels que Ong-bak (2003), Born to fight (2004) ou encore The raid (2011), mais semble s’être encore amplifié avec le succès – jamais démenti depuis 2014 – de la saga John Wick : le cinéma d’action contemporain semble désormais aux mains des cascadeurs. Ceux qui, à l’image des chorégraphes de combats, n’étaient encore considérés hier que comme de simples maillons de la chaîne de production au service des « action stars ». C'est-à-dire qu’aujourd’hui, avoir une véritable « vision » de cinéaste ou des idées bien arrêtées concernant la mise en images d’une scène d’action ne suffit plus : si vous rencontrez un producteur dans le but de donner vie à vos rêves de gros fights de celluloïd, il vaut mieux être capable d’enchaîner vos arguments avec un petit salto arrière accompagné d’une riboulade retournée et d’un petit milouton acrobatique, voire même d’un gloubou à sens giratoire inversé (les lecteurs d’Edika savent pertinemment de quoi on parle ici).
Critique : Mortal Engines
Projet de longue date annoncé depuis presque une décennie, Mortal Engines aura longtemps suscité les espoirs des nombreux fans de Peter Jackson. Et l’entreprise semblait toute taillée pour le réalisateur qui aurait annoncé son retour flamboyant après avoir été longtemps claquemuré dans la Terre du Milieu. L’excitation a laissé place à l’appréhension après l’annonce de Christian Rivers à la réalisation (la première le concernant) en lieu et place de Jackson qui conservera une place de producteur exécutif. Mais que l’on se rassure : le résultat est d’une fraîcheur plutôt galvanisante dans une ère où les productions originales se raréfient. Mortal Engines est une course frénétique à l’esthétique novatrice dont le pur plaisir du spectacle l’emporte sur une faiblesse d’écriture parfois embarrassante.
Test Blu-ray : Braven
La carrière de Jason Momoa (à ne pas confondre avec Jason Maoam, qui est juste un mec marrant parce qu’il a un nom de paquet de bonbons) se divise en plusieurs parties, que l’on distinguera aisément les unes des autres. De ses débuts 1999 et jusqu’en 2009, il se démarque par une image de pur beau gosse un peu bad boy et bodybuildé à l’aide de rôles récurrents dans des séries très populaires, faisant partie de celles que nul n’assume réellement d’avoir pu regarder / aimer un jour : Alerte à Malibu, North Shore : Hôtel du Pacifique, Stargate Atlantis…
Test Blu-ray : Couple modèle
S’il se rapproche par bien des aspects de ces productions se bousculant littéralement sur nos chaines de TV, Couple modèle fait preuve d’une certaine originalité dans le traitement de son intrigue, imaginée à l’origine par le maestro de l’horreur Stephen King. Le film suit donc le personnage de Darcy (Joan Allen) qui se rend compte, au bout de vingt-cinq ans de mariage et de vie commune, que son mari est en fait un serial killer ayant violé, torturé et tué une dou
Test Blu-ray : Don’t breathe – La maison des ténèbres
Comme à son habitude, Sony Pictures nous livre avec Don’t breathe – La maison des ténèbres une galette Blu-ray en tous points irréprochable. Le master est d’une superbe précision, affichant un piqué d’une précision absolue, les couleurs montrent une belle pêche, les noirs sont solides et profonds ; c’est du très beau boulot, rendant pleinement honneur au travail sur la photo nocturne de Pedro Luque, adaptée à un tournage en numérique avec la caméra Arri Alexa Plus. Côté son, VF et VO sont proposés en DTS-HD Master Audio 5.1, et les deux mixages imposent un solide dynamisme, dont le spectateur profitera surtout durant les scènes d’horreur et les scènes en extérieur, qui proposent de multiples détails sonores parfaitement rendus et spatialisés.
Test DVD : Don’t breathe – La maison des ténèbres
Pour le cinéphage de base, l’idée de pouvoir porter sur un piédestal un jeune metteur en scène que l’on considère comme « prometteur » a quelque chose de particulièrement excitant. Si le cinéaste en question confirme les espoirs placés en lui, on peut se targuer de l’avoir détecté avant tout le monde. Dans le cas contraire, on peut toujours jeter notre dévolu sur quelqu’un d’autre. En ce qui concerne Fede Alvarez, nous l’avons découvert avec un projet pour le moins casse gueule, à savoir le remake d’un de ces films jugés « intouchables » par tout fan qui se respecte, Evil Dead. Jeune cinéaste uruguayen s’étant fait une réputation sur Youtube avec son court métrage Ataque de Panico!, il a passé avec succès le cap du long métrage, allant à l’encontre du film original de Sam Raimi, optant plutôt pour une approche sanguinaire et radicale, et se montrant de plus très à l’aise avec la caméra avec une mise en scène baroque et stylisée. Dès lors, il ne lui restait plus qu’à enfoncer le clou avec un film original, chose faite avec Don’t breathe – La maison des ténèbres. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que, non seulement il confirme les espoirs que l’on avait pu placer en lui, mais il le fait avec une maîtrise de la mise en scène n’ayant rien à envier à un certain David Fincher.
Critique : Don’t breathe – La maison des ténèbres
Pour le cinéphage de base, l’idée de pouvoir porter sur un piédestal un jeune metteur en scène que l’on considère comme « prometteur » a quelque chose de particulièrement excitant. Si le cinéaste en question confirme les espoirs placés en lui, on peut se targuer de l’avoir détecté avant tout le monde. Dans le cas contraire, on peut toujours jeter notre dévolu sur quelqu’un d’autre. En ce qui concerne Fede Alvarez, nous l’avons découvert avec un projet pour le moins casse gueule, à savoir le remake d’un de ces films jugés « intouchables » par tout fan qui se respecte, Evil dead. Jeune cinéaste uruguayen s’étant fait une réputation sur Youtube avec son court métrage Ataque de Panico!, il a passé avec succès le cap du long métrage, allant à l’encontre du film original de Sam Raimi, optant plutôt pour une approche sanguinaire et radicale, et se montrant de plus très à l’aise avec la caméra avec une mise en scène baroque et stylisée. Dès lors, il ne lui restait plus qu’à enfoncer le clou avec un film original, chose faite avec le film qui nous intéresse aujourd’hui. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que, non seulement il confirme les espoirs que l’on avait pu placer en lui, mais il le fait avec une maîtrise de la mise en scène n’ayant rien à envier à un certain David Fincher.