Tag: Sergio Corbucci
Test Blu-ray : El Mercenario
Franco Nero / Sergio Corbucci / Franco Solinas : telle est la sainte trinité ayant permis la flamboyante réussite d’El Mercenario. Ce trio en état de grâce a contribué à faire de ce western spaghetti une œuvre que l’on admire encore 55 ans après sa sortie...
Test Blu-ray : Navajo Joe
Réalisé par Saint Corbucci en 1966, soit la même année que le Django qui lui apporterait honneur et gloire dans le monde entier, Navajo Joe est un western spaghetti qui, sous ses atours avenants et colorés, cache en réalité une noirceur inattendue...
Test Blu-ray : La Mort marche en talons hauts
C'est Artus Films qui sort en Blu-ray La Mort marche en talons hauts, et il s'agit vraiment de la confirmation que le nom de Luciano Ercoli mérite vraiment d'être inscrit en haut de la liste des plus grands réalisateurs de Giallo dans les années 70.
Test Blu-ray : La Mort caresse à minuit
Dès les premières minutes de La Mort caresse à minuit, on comprendra que le film de Luciano Ercoli s’inscrit dans le sillage de L'Oiseau au plumage de cristal : la séquence d’introduction nous propose de nous plonger dans une ambiance fantastique.
Test Blu-ray : La fille qui en savait trop
Il n'y aurait pas eu meilleure manière d’entamer notre « Semaine du Giallo » qu'avec La Fille qui en savait trop (1963), dans le sens où on attribue souvent la naissance du genre au film de Mario Bava. Il posait ici les premières pierres du Giallo...
Test Blu-ray : Django
Django, le héros charismatique, incarné par un Franco Nero d’une classe absolue, parviendra à s’imposer en l’espace de quelques séquences comme l’un de ces cowboys solitaires propres à entrer dans la légende...
Test DVD : Le chevalier du château maudit
Le chevalier du château maudit est le parfait petit représentant fauché d’un certain cinéma d’aventures à l’ancienne, mettant en scène un méchant très méchant et des gentils très gentils au cœur d’un véritable château de BD.
Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)
Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.
Test Blu-ray : Le spécialiste
Que l’on ait aimé ou pas ses prestations au cinéma, Johnny Hallyday n’avait certainement pas à rougir de sa carrière d’acteur. S’il a côtoyé des cinéastes unanimement reconnus par les cinéphiles (Jean-Luc Godard, Costa Gavras…), celui qu’on surnommait l’idole des jeunes a également marqué de son empreinte le cinéma populaire, à travers une poignée de films de genre flirtant même avec le « bis ». On pense forcément à des films tels que Vengeance de Johnnie To (2006) ou Terminus de Pierre-William Glenn (1987) ; dans le même ordre d’idées, Johnny pouvait se vanter d’avoir tourné un « spagh » avec l’un des maîtres incontestés du western transalpin, Sergio Corbucci. Faisant partie de la « Sainte Trinité » des Sergio que vénèrent les amateurs de westerns spaghetti (Leone / Sollima / Corbucci), Sergio Corbucci a à son actif plusieurs classiques du genre : on pourra citer Django (1966), Navajo Joe (1966), Le grand silence (1968), El mercenario (1968) ou encore le formidable Far west story (1972), véritable œuvre « somme » parfaite de A à Z.
La Cinémathèque Française à l’été 2018
Encore une semaine de films de William Wyler et d'accompagnements de la grande exposition dédiée à Chris Marker – « Chris Marker Les 7 vies d'un cinéaste » – qui sera encore visible jusqu'à fin juillet, puis la Cinémathèque Française basculera en mode été avec ses deux derniers mois de programmation, avant la fermeture annuelle habituelle au mois d'août.
Test Blu-ray : Le justicier du Minnesota
Globalement plus classique, et donc un peu moins connu que les autres westerns signés Sergio Corbucci, Le justicier du Minnesota est pourtant une belle réussite, s’intégrant parfaitement dans l’œuvre du cinéaste.
Ennio Morricone : focus sur des BO délaissées
A l'occasion de l'annonce de l'engagement de Ennio Morricone sur Voyage of time de Terrence Malick, retour sur quelques perles peut-être sous-estimées du maestro.