Tag: Sandrine Kiberlain
Arras 2024 : Sarah Bernhardt La divine
Il y a plus de cent ans, pour quelle raison précise Sarah Bernhardt était-elle célèbre ? En tant qu'actrice d'exception qui fascinait les spectateurs du monde entier avec son jeu expressif ou bien, de manière plus prosaïque, parce qu'elle était la première célébrité de l'âge moderne, capable de médiatiser et de monnayer son statut comme personne d'autre avant elle ?
Critique Express : Les barbares
Un film qu'on déguste avec délectation, un film qui, certes, est loin d'apporter une révolution d'un point de vue purement cinématographique mais qui, à la sortie de la salle, permet de dire à d'autres personnes ou de se dire in petto : qu'est ce que c'est jouissif de passer du rire aux larmes ou vice versa en l'espace de quelques secondes !
Test Blu-ray : Le Parfum vert
Vincent Lacoste et Sandrine Kiberlain s’improvisent enquêteurs dans Le Parfum vert, une comédie d’espionnage rocambolesque entre « Les Aventures de Tintin » et les films d’Hitchcock...
Critique : Novembre
A l'image des attentats du 11 septembre 2001 sur le sol américain, ceux à Paris et en banlieue proche en novembre 2015 ont généré un écho filmique des plus soutenus. En effet, quelques années de recul à peine auront suffi pour libérer les esprits et les langues, dans une vaste opération de récupération cinématographique de ce trauma collectif.
Test DVD : Un autre monde
Que dire sinon que ce film est tout simplement une réussite totale avec, cette fois ci, comme victime du système économique qui règne sur la planète, système basé sur les exigences du marché et la compétitivité, non pas un ouvrier, non pas un chômeur, mais un cadre de haut niveau !
Critique express : un autre monde
Dans ce film absolument remarquable, les interprètes sont, eux aussi, remarquables.
Critique express : Une jeune fille qui va bien
On l'aime bien Sandrine Kiberlain, cette comédienne au jeu toujours juste, mais pas au point d'hésiter à affirmer que son premier long métrage en tant que réalisatrice, quand bien même il a été présenté à Cannes 2021 dans le cadre de la Semaine de la Critique, n'est pas à la hauteur des espérances qu'a priori, on pouvait avoir. Non que le film soit mauvais, ni même médiocre, on peut même dire qu'il se voit avec un certain plaisir, MAIS ... il est simplement à côté de la plaque !
Critique : On est fait pour s’entendre
Le handicap ne prête guère au rire. Puisque la personne en situation de handicap est définie socialement en manque d'une faculté, de la mobilité à l'esprit soi-disant sain, en passant par les déficiences auditives et visuelles, elle peut s'attendre au mieux à la pitié, au pire à la moquerie de la part de fictions plus ou moins bien intentionnées à son égard.
Critique : Les 2 Alfred
De quoi l'avenir sera-t-il fait ? Nul ne le sait, bien évidemment. Cependant, l'impression peu agréable ne nous quitte plus en ces temps de crise sanitaire qu'on perd de vue les enjeux à long terme, que la parenthèse du coronavirus suspend toutes les autres évolutions, en bien ou en mal, de notre société.
Des César Misérables
Voici en quelques mots une réaction sur une cérémonie pour le moins tendue et inhabituelle, ou «très particulière» selon la Présidente de la soirée...
Test Blu-ray : Les patriotes
S’il est devenu un cinéaste aussi rare que précieux (il faut dire aussi qu’il semble pas mal occupé ces dernières années avec Le bureau des légendes, sa série produite par Canal+), Éric Rochant tournait plutôt pas mal à ses débuts. Après l’énorme succès d’Un monde sans pitié, il a en effet pu enchaîner les projets, et signer six longs-métrages entre 1989 et 2000. C’est probablement l’échec commercial de Total western, son chef d’œuvre absolu (mais également absolument incompris), qui l’aura forcé à espacer d’avantage ses tournages pour le cinéma au début du vingt-et-unième siècle.
Test Blu-ray : Mon bébé
Avec Lol en 2009, Lisa Azuelos s'était imposée comme une fine observatrice des mœurs adolescentes avec une comédie explorant le thème décidément inusable des relations parents / enfants, à l'ère des textos, d'Internet et des mères célibataires. Une dizaine d'années plus tard, elle propose avec Mon bébé une variation sur la même thématique, en mettant en scène les difficultés d'une mère à voir son enfant quitter le nid douillet du domicile familial.