Tag: Sami Bouajila
Test DVD : La mécanique de l’ombre
Beaucoup de maîtrise pour ce premier long métrage réalisé par un autodidacte
Cannes 70 : où est la diversité ?
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Critique : La Mécanique de l’ombre
François Cluzet a du flair. Il a beau ne pas toujours apparaître dans les plus gros succès publics – Intouchables mis à part –, la filmographie de cet acteur d’exception reflète parfaitement son talent et, mieux encore, son incroyable lucidité dans la quête d’un challenge raisonnable, qui ne vire jamais à l’erreur de casting.
Test Blu-ray : Braqueurs
Depuis qu’ils existent, les films de gangster ont dû s’accommoder d’une prise de position plus ou moins trouble à l’égard du crime. Entre les extrêmes de l’apologie de ce dernier et d’une condamnation sans équivoque de toute activité illégale, chacun d’entre eux s’est positionné – qu’il le veuille ou non – sur le spectre des valeurs morales aux variations de gris illimitées...
Les anniversaires de la semaine 19 / 2016
Voici la liste des personnalités du cinéma qui célébreront un anniversaire important pendant la semaine à venir, entre le 9 et le 15 mai 2016 :
Critique : Braqueurs
Depuis qu’ils existent, les films de gangster ont dû s’accommoder d’une prise de position plus ou moins trouble à l’égard du crime. Entre les extrêmes de l’apologie de ce dernier et d’une condamnation sans équivoque de toute activité illégale, chacun d’entre eux s’est positionné – qu’il le veuille ou non – sur le spectre des valeurs morales aux variations de gris illimitées.
Critique : Good Luck Algeria
Farid Bentoumi réussit son coup en délivrant une comédie à la fois drôle, sociale, familiale et même politique. Cette réussite est due à la fois à une mise en scène qui ne fait jamais dans la facilité, à un montage qui donne la longueur juste à chaque scène et à des comédiens dont le jeu chaleureux permet aux spectateurs de se trouver en totale empathie avec les personnages.
Omar m’a tuer
C’est un peu l’affaire Renucci des années post abolition de la peine de mort. Omar Raddad est accusé de meurtre alors que tout semble concourir vers son innocence. Roschdy Zem, pour son deuxième film de cinéaste, rouvre le dossier et livre un film de belle facture, d’une grande dignité et offre à Sami Bouajila un de ses meilleurs rôles. Sans misérabilisme et avec une certaine objectivité, il donne à réfléchir sur la fragilité d’un système judiciaire qui se grippe tout seul et finit par s’acharner sur un individu.
César 2012 : les nominations : Omar Sy parmi les meilleurs...
Voici les nominations pour cette 37ème cérémonie des Césars.
Carré Blanc
Carré Blanc est le premier long métrage de Jean-baptiste Leonetti, déjà réalisateur de Le pays des Ours. Une histoire d’amour, de violence et de science-fiction à la fois, le tout à la sauce Made in France…
Omar m’a tuer
Un film français qui parle d’un scandale judiciaire français, c’est rare au cinéma car ça dérange. Omar m’a tuer était donc un pari risqué de la part de Roschdy Zem puisqu’encore en 2011, l’histoire de ce jardinier marocain accusé de meurtre est loin d’être classée… Voilà donc la critique d’un film dans lequel la réalité a dépassé la fiction.