Tag: Samara Weaving
Test Blu-ray : Snake Eyes – G.I. Joe Origins
Avec 302 millions de recettes mondiales en 2009, le premier G.I. Joe fut suivi d'un deuxième épisode en 2014, qui rapporta quant à lui la bagatelle de 375 millions. Bizarrement, Snake Eyes : G.I. Joe Origins ne débarque sur les écrans que 7 ans plus tard.
À voir sur Netflix : The babysitter – Killer queen /...
Avec The babysitter - Killer queen, McG nous propose un divertissement de haut vol, créatif, drôle et gore. Un rollercoaster en mode « Grindhouse », encore plus sanglant, encore plus barré, encore plus drôle.
À voir sur Netflix : The babysitter / Nounou d’enfer
À l'occasion de la sortie imminente de The babysitter 2, on s'est dit qu'il serait bon de revenir sur The babysitter, une petite comédie horrifique iconique en diable réalisée par McG
Test Blu-ray : Wedding nightmare
Si l’affiche française de Wedding nightmare a indéniablement bénéficié d’un soin tout particulier, et du travail sans doute acharné d’un graphiste de talent, elle n'en reflète pas pour autant tout à fait l'esprit du film.
Test Blu-ray : Mayhem
En élève assidu semblant avoir pleinement assimilé les leçons d’un George A. Romero, Joe Lynch choisit avec Mayhem de livrer une critique volontiers subversive de la société américaine contemporaine. Utilisant le canevas classique du film « d’infectés » afin de critiquer sans vergogne la violence sociale et professionnelle de l’ère Trump, le cinéaste et son scénariste Matias Caruso livrent une satire pour le moins mordante du monde du travail américain (que l’on pourra aisément élargir à une bonne partie du monde occidental) se transformant littéralement en un jeu de massacre assez jouissif au cœur duquel les employés d’un cabinet d’avocats, libérés de leurs inhibitions sociales, n’hésitent plus à tuer pour monter en grade dans la société.
Test Blu-ray : 3 Billboards – Les panneaux de la vengeance
Si le cinéma de Martin McDonagh a toujours été parfaitement sympathique, on n'ira pas jusqu'à clamer haut et fort que ses deux premiers films -pour mémoire Bons baisers de Bruges (2008) et 7 psychopathes (2012)- laissaient augurer d'une quelconque manière la claque ressentie à la vision de 3 Billboards : Les panneaux de la vengeance. Car en abordant de front un genre et une tonalité devenus depuis quelques années la chasse gardée des frères Coen, on ne s'attendait pas du tout à ce que le cinéaste parvienne à ce point à s'approprier cet univers, évoluant sur un fil très ténu entre l'humour très noir et la crudité du « réel », qui fait régulièrement et brutalement son irruption dans le récit.