Tag: Roschdy Zem
Cannes 2014 : Bird People
Près de huit ans déjà après Lady Chatterley, César du meilleur film en 2007, Pascale Ferran revient avec un long-métrage d'une grande originalité dont il est préférable d'en savoir le moins possible pour l'apprécier à sa juste valeur.
Mains armées
Filature de Marseille à Paris pour démanteler un trafic d’armes, de cocaïne. Deux équipes qui sans être totalement antagonistes, ne se font pas beaucoup de cadeau. Sauf que dans l’une se trouve un commissaire esseulé et dans l’autre sa fille qu’il n’a quasiment jamais vue.
Sans Issue : la bande-annonce du film avec Bruce Willis, Henry...
Voici la bande-annonce vostfr de Sans Issue mettant en scène Bruce Willis, Henry Cavill et l'acteur français Roschdy Zem.
Omar m’a tuer
C’est un peu l’affaire Renucci des années post abolition de la peine de mort. Omar Raddad est accusé de meurtre alors que tout semble concourir vers son innocence. Roschdy Zem, pour son deuxième film de cinéaste, rouvre le dossier et livre un film de belle facture, d’une grande dignité et offre à Sami Bouajila un de ses meilleurs rôles. Sans misérabilisme et avec une certaine objectivité, il donne à réfléchir sur la fragilité d’un système judiciaire qui se grippe tout seul et finit par s’acharner sur un individu.
Une nuit
Déambulation policière dans les rues endormies de Paris. Avec un réalisme de chaque instant, Philippe Lefevre réussit un film noir de haute facture au scénario machiavélique jusqu’à un retentissant rebondissement final. Du très bel ouvrage que défendent d’excellents comédiens. Roschdy Zem y est magistral.
Critique : À bout portant
Après le très bon Pour elle, Fred Cavayé s'attaque au polar à la française avec À bout portant. Il souhaitait réaliser ce film comme une course-poursuite ininterrompue, une sorte de version longue des 30 dernières minutes de Pour elle.
Omar m’a tuer
Un film français qui parle d’un scandale judiciaire français, c’est rare au cinéma car ça dérange. Omar m’a tuer était donc un pari risqué de la part de Roschdy Zem puisqu’encore en 2011, l’histoire de ce jardinier marocain accusé de meurtre est loin d’être classée… Voilà donc la critique d’un film dans lequel la réalité a dépassé la fiction.