Tag: Romain Duris
Critique Express : Une part manquante
C'est en se rendant au Japon avec Romain Duris pour y faire la promotion de "Nos batailles", son excellent film précédent, que le réalisateur franco-belge Guillaume Senez a rencontré des français qui lui ont raconté les problèmes qu'ils avaient avec l'absence de garde partagée dans ce pays.
César 2024 : les nominations
Dans cette semaine particulièrement chargée en annonces de prix, la dernière à tomber hier fut celle des nominations à la 49ème cérémonie des César. Leur liste a été directement postée sur le site de l'Académie du cinéma français, une fois qu'elle a été reçue de main d'huissier par la présidente de l'Académie Véronique Cayla.
Critique : Les Trois mousquetaires Milady
A chaque époque son adaptation du célèbre roman de Alexandre Dumas. Avec ses particularités contemporaines et son aspiration d'être fidèle à l'histoire chevaleresque des quatre mousquetaires, tout en la remettant au goût du jour. A ce niveau-là, Les Trois mousquetaires Milady remplit plus que convenablement son contrat.
Critique Express : Le règne animal
Le fantastique est un genre qui donne une grande liberté aux réalisateurs de cinéma pour aborder des thèmes tels que le vivre ensemble ou l'écologie.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Les Trois Mousquetaires – D’Artagnan
Les Trois Mousquetaires - D'Artagnan s’impose certes comme un film historique, mais également comme une grosse production aventure / action toujours lancée à pleine vitesse, et qui ne laissera jamais au spectateur l’occasion de s'ennuyer.
Test Blu-ray : Chacun cherche son chat
Chacun cherche son chat est un des représentants les plus célèbres d’un certain « jeune cinéma français » né au début des années 90, et qui nous donna une poignée de bons petits films avant de s’éteindre avec le tournant de l’an 2000.
Critique : Le déserteur
C'est sous la forme d'un conte plein de mystères et de symboles, mi road-movie, mi western, que Maxime Giroux nous montre, dans un film ambitieux et globalement réussi, une peinture pessimiste de la face cachée du rêve américain.
César 2019 : les nominations
Les nominations pour la 44ème édition des César ont été annoncées avant-hier matin par Alain Terzian, le président de l'Académie des Arts et Techniques du Cinéma, et Maxime Saada, président du groupe Canal +. La cérémonie aura lieu le vendredi 22 février à la Salle Pleyel et sera diffusée comme d'habitude en clair et en exclusivité sur Canal + à partir de 21h00.
Test Blu-ray : Fleuve noir
D'entrée de jeu, avec son titre faisant référence à l'une des plus grandes maisons d'édition françaises spécialisée dans le roman policier populaire, Fleuve noir affiche clairement son appartenance à une certaine mouvance du polar littéraire, navigant dans les eaux troubles du thriller à tendance glauque peuplé de personnages borderline. Porté par la prestation extraordinaire d'un Vincent Cassel en grande forme, le film d'Erick Zonca prend donc rapidement le chemin du polar suffocant, mettant en scène l'affrontement de deux personnalités opposées : le flicard bourru, alcoolique, sale, désabusé et instinctif (Cassel) se heurtera donc à l'intellectuel au comportement suspect, trop lettré pour être honnête et supposément homosexuel (Romain Duris). L'outrance de cette situation de départ pour le moins scabreuse se retrouvera dans le jeu des deux comédiens, souvent aux limites du cabotinage, mais toujours parfaitement dans le ton, au service d'une intrigue en rajoutant encore dans le sordide à chaque nouveau rebondissement.
Test Blu-ray : Dans la brume
A la fois humble et spectaculaire, Dans la brume est un projet de science-fiction old school, très influencé par les récits développés dans la série La quatrième dimension : un film pour le moins atypique dans la production française contemporaine, mais pas unique, dans le sens où ce genre de projet parvient tout de même une ou deux fois par an à se frayer un chemin vers les salles de l’hexagone.
Test DVD : Madame Hyde
Conte initiatique tantôt brillant tantôt complètement à l’Ouest, Madame Hyde permet à Serge Bozon d’adapter le récit classique de Robert Louis Stevenson à son univers, bizarre et surréaliste, évoluant sur un film très ténu entre une espèce de philosophie sociale et une poésie tirant vers le fantastique le plus cruel.
Cannes 2018 : Le bilan de Jean-Jacques
Vous l'aurez compris, une fois de plus, l'enthousiasme n'a pas été de mise face aux films de la compétition, même si quelques films ont trouvé grâce à mes yeux. Précisons toutefois que je n'ai vu que 14 films sur les 21 en compétition.