Tag: Robert Dalban
Test Blu-ray : Au P’tit Zouave
Film choral, porté par les dialogues simples et souvent percutants de Pierre Laroche, Au P'tit Zouave traite la quasi-totalité de ses personnages sur un pied d'égalité, et au fil des allées et venues des clients dans le café, cela s'avérera un véritable plaisir de faire connaissance avec la clientèle haute en couleurs de l'établissement.
Test Blu-ray : Une merveilleuse journée
Une merveilleuse journée est conçu comme un hommage vibrant et manifeste au vaudeville, divertissement très populaire au début du Vingtième Siècle.
Test Blu-ray : Gas-oil
Polar de « prolétaires », mettant en scène des routiers et donnant à voir une sympathique photographie de la France rurale des années 50, Gas-oil est l’adaptation d’un roman de Georges Bayle, publié dans la « Série Noire » de Gallimard.
Test Blu-ray : Chiens perdus sans collier
La critique n’a pas forcément été tendre avec Chiens perdus sans collier à sa sortie en 1955. On pense notamment à François Truffaut, qui considérait que le film de Jean Delannoy faisait « reculer les bornes de l'insignifiance »...
Test Blu-ray : La menace
Les trois premiers films de Gérard Oury n'étaient pas des comédies mais des policiers. Son deuxième film, La menace, marquait une collaboration avec Frédéric Dard, auteur de polars extrêmement prolifique, et surtout connu sous le pseudonyme de San Antonio.
Test Blu-ray : Le monocle rit jaune
Troisième épisode de la saga du Monocle, adaptation « pour de rire » des très sérieux romans du Colonel Rémy, Le monocle rit jaune joue ouvertement la carte de l’exotisme, puisqu’il se déroule en quasi-totalité à Hong Kong.
Test Blu-ray : La raison du plus fou
Les captations des prestations des grands artistes de music-hall des années 50/60 (Line Renaud, Annie Cordy, Johnny Hallyday, etc) sont extrêmement rares, et tendront forcément à disparaitre avec le temps. Les enregistrements musicaux demeurent néanmoins, et l’on pourra certes occasionnellement retrouver certains « numéros » au cœur de films tournés à l’époque, ce qui permettra à ceux-ci d’atteindre une certaine forme d’immortalité. Dans le cas des artistes spécialisés dans l’humour, certains sketchs ont eu la chance d’être enregistrés pour la télévision, et pourront être retrouvés dans les archives de l’INA. On retrouvera également Fernand Raynaud dans un peu plus d’une quinzaine de films au cœur desquels il recycle le personnage de candide qu’il avait créé pour la scène. Dans le cas d’un artiste tel que Raymond Devos, les choses se compliquent un peu : peu de captations existent, si l’on excepte une série d’enregistrements sonores de ses spectacles, se concentrant naturellement sur l’Art de l’humoriste à jouer avec les mots, d’une façon assez inimitable d’ailleurs. Quelques recueils de sketches sont également facilement dénichables dans toutes les bonnes bouquineries. Mais cela serait une erreur de limiter l’artiste à son seul plaisir à s’amuser avec la langue française : il était également mime, musicien, jongleur, équilibriste, prestidigitateur…
Test Blu-ray : Le grand restaurant
Le grand restaurant est une comédie schizophrène, clairement divisée en deux parties distinctes et pour le moins déséquilibrées. La première partie du film suit Louis De Funès dans le huis-clos d'un grand restaurant, dans une suite de sketches sans intrigue propre ; à mi-parcours, le film s'emballe et nous propose une course poursuite policière, pile dans la veine des Fantômas dont le public était très friand à l'époque.