Tag: René Clair
Test Blu-ray : La poudre d’escampette
« Alors c’est une suisse, un français et un anglais qui sont dans le désert... » Vous l’aurez compris : La poudre d’escampette est une grosse blague livrée par Philippe de Broca à son public, plus que jamais complice de son ton ironique et iconoclaste.
Test Blu-ray : Les granges brûlées
Les granges brûlées est un projet de cinéma porté par la personnalité de Jean Chapot, homme de théâtre parachuté pour l’occasion derrière la caméra à la demande de son amie Simone Signoret.
Test Blu-ray : Les grandes manoeuvres
Le romantisme et les histoires d’Amour tiennent une place de choix dans la filmographie de René Clair, cinéaste poétique par excellence. Avec Les grandes manœuvres, son premier film en couleurs, il signe en 1955 ce qui s’imposera peut-être comme le plus beau film romantique de toute sa carrière.
Test Blu-ray : Souvenirs perdus
Quand Christian-Jaque réalise Souvenirs perdus en 1950, il a déjà à son actif presque vingt ans de carrière derrière la caméra, et une quarantaine de longs-métrages à son actif.
Test Blu-ray : Fanfan la tulipe
Joyau impérissable du cinéma populaire, à la fois drôle et spectaculaire, Fanfan la tulipe a rencontré un tel succès lors de sa sortie en 1952 qu’il a permis à Christian-Jaque et Gérard Philipe de devenir deux des personnalités incontournables du cinéma français des années 50.
Test Blu-ray : Brelan d’as
Une quarantaine d'années avant le Tarantino de Pulp fiction, Henri Verneuil et son équipe saluaient à leur manière le roman populaire avec Brelan d'as...
Test Blu-ray : Entr’acte / Paris qui dort – Deux films...
Ambiance fantastique fortement teintée de surréalisme pour Entr'acte (23 minutes) et Paris qui dort (59 minutes), qui marquent en 1924 les premiers pas derrière la caméra pour René Clair. Deux films muets à redécouvrir de toute urgence...
Test Blu-ray : Le silence est d’or
Avant d'aborder le film en lui-même, il convient d'évacuer d'entrée de jeu les éventuelles craintes que vous aurez pu ressentir à la lecture du synopsis : Le silence est d'or met en scène un triangle amoureux qui, chez un autre cinéaste que René Clair, aurait pu donner naissance au mélo le plus sirupeux qui soit. Rassurez-vous : craindre les excès dans le pathos ou la guimauve reviendrait à oublier la fantaisie naturelle du cinéaste français, qui nous propose ici une brillante relecture de « L'école des femmes » de Molière, transposée à l'époque des débuts du cinéma.
Test Blu-ray : Le dernier milliardaire
Sorti sur les écrans français en 1935, Le dernier milliardaire ne s'impose pas, à proprement parler, tout à fait comme une « réponse française » à La soupe au canard des Marx Brothers tourné l’année précédente : malgré des similitudes que le cinéphile ne pourra certainement pas manquer, les deux films jouent dans des cours un peu différentes, l'humour de René Clair étant finalement très éloigné de l'absurde hystérique, de la frénésie non-sensique du film des frères Marx. Cela dit, avec son intrigue se déroulant dans un royaume imaginaire complètement farfelu, Le dernier milliardaire permet tout de même à René Clair de laisser libre cours à toute sa fantaisie, tout en tirant à boulets rouges sur les dérives du système capitaliste et sur la notion « d’impérialisme » économique, qui serait largement discutée et remise en question durant la deuxième moitié du vingtième siècle. Le monde de la politique et de ses fantoches abrutis toujours prêts à s'incliner devant le pouvoir financier est croqué avec férocité, jusqu'à un final en forme de pirouette inattendue.
Test Blu-ray : Les fêtes galantes
Placé sous le signe de l’action et de l’humour, Les fêtes galantes fait preuve, dès ses premières minutes, d'une atmosphère détendue et très familiale. Le héros et son faire-valoir comique ne sont donc pas Jean Marais et Bourvil mais Jean-Pierre Cassel et Philippe Avron, et le ton est d'avantage enclin à une forme de dérision très théâtrale que dans les films d'André Hunnebelle, qui restaient dans l'ensemble très premier degré. Le personnage incarné par Cassel sous ses airs de roublard bien éloigné de la « droiture » et du sens de l'honneur d'un Jean Marais,
Compte-rendu Brive 2015 chapitre premier
Départ de la gare d'Austerlitz pour Brive en ce vendredi 17 avril à 6h38 en mode warrior (c'est vraiment trop tôt pour un grand...