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Dans le monde très codifié du polar contemporain, le fait d'hériter d'un sac rempli à craquer de billets de banque n'augure généralement rien de très bon pour la suite des événements. La teneur des quiproquos qui s’enchaineront par la suite pourra s’avérer encore plus radicale quand le magot disparu échoue entre les mains de « pieds nickelés » à l’intelligence limitée, n’ayant aucune connaissance des arcanes du crime organisé ou ne s’avérant pas particulièrement doués dans l’Art de la dissimulation. Très influencé par des cinéastes tels que les frères Coen ou Quentin Tarantino, Allan Mauduit décide de jouer avec les codes du cinéma américain, et compose avec Rebelles sa propre conception du polar teinté d’humour noir.

Un grand coup de balai de nouveautés a permis au box-office français de retrouver un niveau à peu près acceptable en cette semaine 14, allant du 3 au 9 avril. Après deux semaines péniblement basses, le cumul hebdomadaire remonte de plus d'un million de spectateurs pour être désormais au dessus de la barre des trois millions et demi de spectateurs.

La stabilité du box-office français en cette semaine 13, allant du 27 mars au 2 avril, n'est nullement une source de réjouissance. Bien au contraire, puisque les résultats de la semaine précédente étaient profondément mauvais et que ceux de cette période hebdomadaire-ci sont encore en baisse de près de cent mille spectateurs !

Aïe, aïe, aïe, les chiffres du box-office français font mal cette semaine, très mal ! Le numéro 12, allant du 20 au 26 mars, se distingue en effet par une chute vertigineuse des entrées par rapport à la semaine précédente, certes aidée par l'opération promotionnelle du « Printemps du cinéma ». Le cumul hebdomadaire est ainsi divisé par deux ou presque, à moins de cent mille spectateurs près, mais qui a l'âme au chipotage face à un tel effondrement ?

Même après dix-neuf ans d'existence, l'opération promotionnelle « le Printemps du cinéma » fait toujours autant de bien à la fréquentation des salles françaises. Comme preuve, on citera les bons résultats de cette 20ème édition qui a eu lieu pendant les trois derniers jours de la semaine 11, allant du 13 au 19 mars.

La fonction d'évasion du cinéma est accessible à un prix moindre cette semaine, dont les trois derniers jours, du dimanche 17 mars au mardi 19 mars, sont placés sous le signe de la 20ème édition du « Printemps du cinéma », toujours au prix de 4 € la séance. Notre sélection hebdomadaire vous fera voyager vers l'est, puisque les trois films qui ont surtout retenu notre attention parmi les sorties se déroulent en Grèce, en Autriche et en Serbie.

"Rebelles" fait plutôt bonne figure dans un genre qui sourit rarement au cinéma français, la comédie présentée comme étant déjantée,