Tag: Quentin Dolmaire
Arras 2019 : Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part : mais qu'est-ce que c'est que ce titre ?! Il a été repris du livre de Anna Gavalda, certes, mais il nous inspire néanmoins un fort sentiment d'indécision entre sa prétention manifeste et un fond mi-philosophique, mi-poétique.
Berlinale 2019 : Synonymes
Il est désormais l'heure pour nous de faire nos adieux à cette 69ème édition du Festival de Berlin, puisque nous reprendrons le chemin du retour à Paris dès demain. Pour être sincère, notre chère ville d'adoption commençait à nous manquer, puisque nous la préférons toujours largement à la métropole allemande, aussi grande que froide.
Critique : Ulysse & Mona
Sébastien Betbeder a vraiment un monde cinématographique qui lui est propre, fait d'humour très fin et de mélancolie ironique.
Test DVD : Trois souvenirs de ma jeunesse
On trouve dans ce film, en cherchant bien, toutes les qualités et tous les défauts du cinéma de Desplechin. Il y a des scènes entre Paul et Esther qui ont beaucoup de grâce et de sensibilité, il y a des scènes ou des dialogues qui sont totalement grotesques (Un exemple ? La scène qui voit Bob s'embrouiller avec ses parents et finir par quitter le giron familial) et il y a même au moins une scène réunissant Paul, Esther et Jean-Pierre qui réussit à être émouvante tout en étant à la limite du grotesque. Autant dire qu'on passe souvent d'un certain plaisir à une irritation certaine !
Cannes 2015 : direction Quinzaine pour le nouveau Desplechin
Rien n'est immuable, rien n'est tout à fait différent. Le réalisateur Arnaud Desplechin s'est retrouvé dans la compétition officielle du Festival de Cannes à...
Bande-annonce : Trois souvenirs de ma jeunesse
Un peu moins de vingt ans après Comment je me suis disputé (ma vie sexuelle), Arnaud Desplechin et Mathieu Amalric retrouvent le personnage de Paul Dedalus pour une histoire antérieure à ce premier opus. C'est suffisamment rare pour être souligné, le concept de suite et encore plus de prequel, est très rare dans le cinéma français, et à plus forte raison dans le cinéma d'auteur.