Tag: Peter van Eyck
Critique : Le Diabolique docteur Mabuse
Quelle tristesse de voir la carrière d'un immense cinéaste se conclure avec un policier à la facture aussi statique et bavarde ! Après avoir été l'un des principaux réalisateurs allemands des années 1920 et '30, puis avoir officié à Hollywood pendant une vingtaine d'années comme spécialiste de films de genre de qualité, Fritz Lang avait opéré un ultime virage germanique assez peu satisfaisant.
Critique : Les Cinq secrets du désert
Un film tourné en plein conflit armé par l'une des parties adverses et qui a pour arrière-plan cette même guerre revêt forcément une dimension de propagande. Perçu à l'époque par bon nombre de peuples opprimés comme une brillante lueur d'espoir vers laquelle se tourner, le cinéma hollywoodien ne fait pas exception à la règle, puisqu'il a produit d'innombrables pamphlets anti-nazis au cours de la Deuxième Guerre mondiale.
Test Blu-ray : H.G Clouzot restauré en 4K
En parallèle du coffret « Clouzot - L'essentiel » disponible depuis le 24 octobre, TF1 Vidéo vient de proposer, dans sa collection dédiée au patrimoine TF1 Studio, deux des plus grands films d’Henri-Georges Clouzot dans des Blu-ray restaurés 4K : Le salaire de la peur (1953) et Les diaboliques (1955). Deux chefs d’œuvre absolus attendus de pied ferme par nombre de cinéphiles français…
Test Blu-ray : Le Diabolique docteur Mabuse
Le diabolique docteur Mabuse est le dernier film de Fritz Lang, lorgnant sans vergogne vers le « bis » et jouant avec les codes des sérials et des « krimi » : fausses-pistes, retournements de situations, miroirs sans tain, repères souterrains, etc.
Test Blu-ray : L’homme qui valait des milliards
Même si elle n’aura été que de courte durée (deux films et puis c’est tout), la collaboration entre Michael Boisrond –réalisateur– et Frederick Stafford –acteur– aura donné naissance à deux excellents films d’aventures. En effet, un an à peine après avoir enchanté le monde avec Atout cœur à Tokyo pour OSS 117 (un des meilleurs opus de la saga des années 60), le duo se retrouvait déjà en 1967 sur l’affiche de L’homme qui valait des milliards.