Tag: Paul Schrader
Cannes 2024 : la compétition
Après une année de fréquentation record en 2023, le Festival de Cannes aura fort à faire pour atteindre le même niveau de popularité et de retentissement médiatique à partir du mardi 14 mai prochain. La 77ème édition de ce rendez-vous incontournable du cinéma mondial aura lieu sur la Croisette jusqu'au samedi 25 mai.
Vu sur MUBI : Light Sleeper
Ce n'est pas qu'à Paris que les poubelles s'entassent le long des rues, à cause d'une grève des éboueurs. Le même désagrément urbain avait fourni l'arrière-plan de ce drame passablement poisseux à New York au début des années 1990. Toujours autant intéressé à sonder le côté crasseux de la culture américaine, Paul Schrader demeure fidèle à ses thèmes de prédilection dans Light Sleeper.
Test Blu-ray : The Card counter
Distribué en France fin 2021, sur un circuit de 89 salles seulement, son dernier film, The Card Counter, n’a probablement pas bénéficié de la promotion nécessaire afin d’attirer les spectateurs français, et est, de ce fait, passé plutôt inaperçu.
Test Blu-ray : Blue collar
Quand il choisit de passer à la réalisation avec Blue collar en 1978, Paul Schrader n’est pas tout à fait en terrain inconnu : il avait en effet déjà évoqué la camaraderie entre collègues de la classe ouvrière au détour d’une séquence ou deux de son scénario de Taxi driver deux ans auparavant...
Oscars 2019 : les statistiques des nominations
Suite à l'annonce hier des nominations aux 91èmes Oscars, voici quelques anecdotes, records et autres faits divers autour de cette liste si prestigieuse du cinéma hollywoodien :
Independent Spirit Awards 2019 : les nominations
La saison des prix de cinéma 2018 a commencé réellement il y a une dizaine de jours, le vendredi 16 novembre, avec l'annonce des nominations pour les 34èmes Independent Spirit Awards. Ces prix récompensent le meilleur du cinéma américain indépendant. La cérémonie de l'annonce des gagnants se tiendra, comme tous les ans, la veille de celle des Oscars, le samedi 23 février 2019, dans une tente sur la plage de Santa Monica.
La Roche-sur-Yon 2018 : Sur le chemin de la rédemption
A tous ceux qui croient que la religion n'a plus sa place au cinéma, à l'exception de quelques productions chrétiennes trop zélées et donc à réserver à leur public de niche, nous conseillons chaudement de découvrir le nouveau film du plus sombrement spirituel des cinéastes américains, Paul Schrader.
Critique : La Féline (Paul Schrader)
La Féline, version Schrader, est bel et bien le fruit de son temps. Tandis que la prémisse passablement grotesque des humains plus qu'attirés par le règne animal pouvait encore faire illusion dans le cadre du film noir des années 1940 et donc paraître sensiblement plus suggestive chez Jacques Tourneur, ici, elle fournit le prétexte souvent bancal pour un mélange malgré tout pas complètement dépourvu d'intérêt d'érotisme et d'ésotérisme.
Critique : We blew it
"We blew it" devrait permettre au public français de mieux comprendre ce qu'ont été les Etats-Unis des années 60/70 et ce qu'ils sont aujourd'hui.
Venise 2017 : la sélection officielle
Comme l'année dernière, la sélection du délégué général Alberto Barbera est très prometteuse sur le papier, espérons que nous ne serons pas déçus lorsque...
Test Blu-ray : Dog Eat Dog
Les anti-héros de Dog eat dog sont violents et vulgaires, ce sont des meurtriers, des psychopathes. Pourtant il va être assez plaisant de les suivre dans leur ultime coup, celui grâce auquel ils vont pouvoir se ranger.
Test Blu-ray : Série noire pour une nuit blanche + La...
La mort inattendue de David Bowie début janvier 2016 aura peut-être précipité les sorties en vidéo de films que personne ne s’attendait réellement à voir poindre le bout de leur nez en Blu-ray avant longtemps. Quelques semaines après L’homme qui venait d’ailleurs, sorti début mai chez Potemkine (lire notre article), voici donc arriver sur support Haute Définition deux films peut-être un peu rapidement estampillés « David Bowie », mais qu’Elephant Films a au moins le mérite de sortir de l’oubli : une sortie composée de Série noire pour une nuit blanche (John Landis, 1985) et de La féline (Paul Schrader, 1982). Deux films n’ayant à priori rien à voir l’un avec l’autre, mais pour lesquels l’éditeur propose des (superbes) visuels et (passionnants) suppléments couplés, se répondant l’un l’autre.