Tag: Pascal Greggory
Test DVD : Un beau matin
Bien qu’elle n’ait que 41 ans, on a l’impression de connaître Mia Hansen-Løve depuis longtemps. Dans Un beau matin, l’inspiration est venue de la fin de vie de son père, Ole Hansen-Løve, décédé de la COVID en avril 2020...
Critique Express : Un beau matin
Ce nouveau film d'une réalisatrice qui prend une place de plus en plus importante dans le cinéma français faisait partie des meilleurs films présentés en mai dernier durant le Festival de Cannes où il apparaissait dans la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs.
Test Blu-ray : La Soif de l’or
L'idée de départ de La Soif de l'or est intéressante : le fait de voir une poignée de personnages radins et arrivistes aveuglés par l’appât du gain se lancer dans une course-poursuite acharnée pour quelques lingots d'or est assez amusante.
Critique : Frankie
"Frankie" s'avère très riche en abordant avec finesse et pudeur le thème positif de la naissance des couples, celui, plus négatif, de leur mort, et celui, encore plus sombre, d'une mort annoncée.
Critique : L’heure de la sortie
Sébastien Marnier conduit son récit avec un talent certain, ce qui, après "Irréprochable", en fait un réalisateur dont on suivra les prochaines réalisations avec attention.
Test Blu-ray : Le serpent aux mille coupures
Souvent considéré comme une exclusivité américaine, le cinéma d'action made in France ne rencontre généralement pas de franc succès dans les salles de l'hexagone. Pourtant, de petits chefs d’œuvres se suivent avec une certaine régularité, devenant au fil du temps des films cultes et prouvant à ceux qui en douteraient que les réalisateurs français sont également très capables quand il s'agit de livrer des bandes d'exploitation badass et sans concessions : Dobermann (1997), Total western (2000), Nid de guêpes (2002), Nuit blanche (2011), La proie (2011) ou encore Antigang (2015) sont autant de preuves flagrantes que les français en ont suffisamment dans le falzar pour nous proposer d'excellents films de genre n'ayant rien à envier aux grosses productions américaines.
Test Blu-ray : Glacé – Saison 1
Glacé désire manifestement jouer dans la cour des grands, avec un triller « à l'américaine », tellement sous influence qu'il prend finalement rapidement des allures de patchwork de série B...
Critique : Le Serpent aux mille coupures
On ne peut pas dire que le polar à la française se porte franchement comme un charme ces derniers temps. Car entre les éternelles comédies franchouillardes et autres drames conjugaux, pas grand monde n’ose s’affirmer dans la série noire populaire comme il y en avait pléthore à une époque lointaine. Certes, des Olivier Marchal ou Frédéric Schoenderffer nous livrent régulièrement des films du genre, mais pas toujours pour notre plus grand bonheur, et la plupart des cinéastes oeuvrant dans le genre ont le choix entre partir aux Etats Unis afin de bénéficier de budgets plus confortables, ou bien à en être réduits à cachetonner sur des comédies populaires comme les Fred Cavayé ou Florent Emilio Siri en ont fait l’expérience récemment. Entre tout ça, une personnalité comme Eric Valette n’en est que plus précieuse, car même s’il s’est également laissé tenter un temps par l’aventure Hollywoodienne, il a fini par revenir en France, et ne s’est jamais fourvoyé dans des projets ne lui convenant pas. C’est ainsi que depuis l’excellent « La proie » en 2011, il n’avait plus tourné pour le cinéma, se contentant d’épisodes de séries TV comme Braquo ou Sable noir. Il revient donc avec l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain français DOA, publié aux Editions Gallimard en 2009, dans la collection « Série noire ». L’attente est-elle récompensée ?
Critique : Bye Bye Blondie
Dans le cadre de la thématique Femmes Femmes des 15èmes Journées Dionysiennes de l'Ecran de Saint-Denis, Virginie Despentes est l'une des invités d'honneur, l'occasion notamment de redécouvrir ce qui est pour l'instant son meilleur film, une histoire d'amour entre Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart. A voir ce dimanche 8 février à 16h45...