Tag: Paramount Pictures
Test Blu-ray : La Folle journée de Ferris Bueller
Immense classique du « teen movie » US (et même de la comédie américaine tout court, d’ailleurs), La Folle journée de Ferris Bueller fait partie de ces films intemporels sur lesquels le temps ne semble avoir aucune emprise.
Test Blu-ray : Sans un bruit
L’acteur John Krasinski passe derrière la caméra avec Sans un bruit, thriller horrifique dont il partage l’affiche avec son épouse Emily Blunt. Il sait créer un climat oppressant, soulignant comment le moindre relâchement peut avoir de terribles conséquences...
Test Blu-ray : Tad et le secret du roi Midas
Par manque de moyens techniques et, peut-être, d’ambition, les films d’animation en provenance d’Europe n’osent pas forcément s’attaquer au public « familial » ciblé par les productions Disney / Pixar et quelques autres géants de l’animation américaine. De fait, les dessins animés produits sur le vieux continent s’adressent généralement soit à des ados / adultes, soit s’avèrent au contraire plutôt uniquement à destination des « petits » enfants, de 2 à 7 ans, et laissent les parents un peu sur leur faim.
Test Blu-ray : Sherlock Gnomes
Une vague de vols frappe les nains de jardins de Londres. Lorsque Gnoméo et Juliette sont confrontés à la disparition de leur communauté, Sherlock Gnomes et le docteur Watson viennent à leur rescousse. Après Shakespeare, l’équipe de Gnoméo et Juliette s’en prend à Conan Doyle et adjoint aux héros du précédent volet le célèbre duo d’enquêteurs. L’humour vient pour beaucoup du caractère pédant et égocentrique du détective, joué avec malice dans la version originale par Johnny Depp. Le personnage, condescendant avec son fidèle second, inspire les auteurs, avec des séquences en noir et blanc pour illustrer ses réflexions et son désintérêt des opinions des autres. L’éternel méchant Moriarty est recréé de façon inattendue.
Test Blu-ray : Downsizing
La découverte de Downsizing, qui navigue dans le genre de la science-fiction, a clairement de quoi étonner le spectateur : Alexander Payne avait en effet jusqu’ici plutôt placé sa filmographie sous le signe du cinéma indépendant...
Test Blu-ray : Grease + Grease 2
Évoquer par le menu les qualités et les défauts cinématographiques d’un film tel que Grease, quarante ans après sa sortie dans les salles obscures, ne semble pas très pertinent. Film culte de la génération des auditeurs de Nostalgie, proposant sur sa bande originale une série de titres devenus de véritables « classiques » de la chanson populaire, Grease a toujours rencontré un immense succès dans le monde entier. 5,3 millions d’entrées en France en 1978, auxquelles s’ajouteront près de 400.000 entrées supplémentaires lors de sa ressortie « 20ème anniversaire » en 1998 : les français aiment le film de Randal Kleiser, qui a largement contribué à entériner la popularité de John Travolta, révélé en 1977 avec La fièvre du samedi soir, et révélé Olivia Newton-John, qui s’offrirait de fait une carrière éclair de quelques années en dehors des seules frontières américaines.
Test DVD : Very bad dads 2
Quoiqu’en disent certains esthètes adeptes d’un cinéma de la forme dont les plans sont pensés au millimètre près, l’Art ne s’embarrasse généralement pas de considérations mathématiques. On en veut pour preuve que la multiplication d’éléments négatifs ne produit que rarement de résultat positif à l’écran ; dans le sens inverse, l’addition d’éléments positifs au cœur d’un seul et même film ne produit pas systématiquement, au final, un film dont la valeur réelle représente la somme des talents mis dans la balance. On avait déjà souligné cet état de fait à la sortie en France de Very bad dads en 2015 (lire notre article) : le film était très attendu car il représentait la rencontre à l’écran de l’équipe du diptyque Comment tuer son boss et du duo Will Ferrell / Mark Wahlberg, et ne pouvait en toute logique que lessiver nos zygomatiques et rougir nos cuisses à force de se les claquer dans l’hilarité générale. Contre toute attente, Very bad dads s’était avéré une bonne « petite » comédie, mais bien éloignée du monument tant espéré.
Test Blu-ray : Mother !
Nous sommes ici dans cette catégorie pas si fréquente de films n’ayant pas peur de l’outrance et de la grandiloquence, au risque de perdre une partie des spectateurs. C’est le risque que prend le cinéaste à vouloir à tout prix faire le contraire de ce que l’on peut attendre de lui, et cela prend des proportions particulièrement extrêmes dans le cas présent. Il est donc difficile, en sortant de la séance, d’émettre un avis constructif et réfléchi sur une œuvre totale, dans ce que le terme a de plus absolu, à savoir le fruit du travail d’un véritable artiste paniqué à l’idée de tomber dans le consensuel, et n’hésitant pas, pour arriver à ses fins, à malmener son public, quitte à déraper par instants dans le sordide le plus total, à travers une scène en particulier, qui fera grincer pas mal de dents, et devrait au passage faire claquer quelques sièges.
Test Blu-ray : Transformers – The last knight
Trois ans après Transformers : L’âge de l’extinction, que nous avions apprécié à sa juste valeur dans les colonnes de critique-film, Michael Bay récidive avec une nouvelle suite, marquant sa 5ème incursion dans le petit monde des Autobots et des Decepticons.
Test Blu-ray : Ghost in the shell
Rupert Sanders reprend des scènes emblématiques de l’animé, à l’image de ce combat culte dans l’eau. L’esthétique est splendide, quelque part entre Blade Runner, Le cinquième élément et Akira dans un néo-Tokyo impressionnant. Un mélange moderne et crasseux qui fait référence aux classiques du genre. Via des images de synthèses renversantes, Rupert Sanders signe des scènes d’action efficaces et d’une beauté confondante, rythmées et prenantes.
Test Blu-ray : Le Cercle – Rings
A partir du moment où ils tiennent un concept fort, les japonais ne savent plus s’arrêter ; culturellement, qu’il s’agisse de mangas, de romans ou d’animation, chacune de leurs franchises à succès se transforme presque immuablement en pompe à fric.
Test Blu-ray : xXx reactivated [ Blu-ray 3D ]
Si l’on ignore encore si l’on peut réellement parler d’une « évolution » du genre, le fait est que le cinéma d’action a énormément changé en l’espace de quinze ans : plutôt que de capitaliser sur une action star à qui tout réussit, le blockbuster d’action a muté au fil des années, s’orientant d’avantage vers les films de « bandes » accomplissant des exploits et autres prouesses « bigger than life », quitte à se vautrer dans le délire le plus surréaliste et le plus réjouissant, pour le plus grand plaisir d’un public avide de sensations et de grand spectacle. Dans cette catégorie, on pense par exemple (et entre autres) au diptyque Charlie’s angels, à Bad boys II, aux films de la saga Expendables ou encore à Fast & Furious 5 / 6 / 7 / 8.