Tag: Michel Serrault
Test Blu-ray : Joyeux Noël, bonne année
Joyeux Noël, bonne année est l’avant-dernier film de Luigi Comencini, un cinéaste qui était parvenu à marquer de son empreinte la comédie italienne de l'âge d'or et à révéler une véritable sensibilité avec une série de mélodrames empreints d’une grande délicatesse.
Test Blu-ray : Moi et les hommes de 40 ans
Moi et les hommes de 40 ans est le dernier film de Jack Pinoteau. Sorti en 1965, il attirerait dans les salles un peu plus de 447.000 français. Conçu à la façon d’un film à sketches, le film enchaîne les saynètes humoristiques...
Test Blu-ray : Les Rois du gag
Rien ne semblait prédestiner Les Rois du gag à retomber dans les limbes de la mémoire collective. À sa sortie sur les écrans français en 1985, avait attiré 1,5 millions de spectateurs dans les salles...
Test Blu-ray : Un linceul n’a pas de poches
Jean-Pierre Mocky a trouvé dans le bouquin d'Horace McCoy un terrain fertile, lui permettant de tirer à boulets rouges sur l’indépendance de la presse d’information, et au final, Un linceul n'a pas de poches lui permettra de flinguer tous azimuts...
Test Blu-ray : Rien ne va plus
Avec Rien ne va plus, Claude Chabrol choisissait d’offrir au spectateur un vrai roman de gare, une histoire d’arnaqueurs dans la plus pure tradition du policier de type « série noire ».
Test Blu-ray : La chasse à l’homme
Sorti sur les écrans en septembre 1964, La chasse à l'homme était déjà, mine de rien, le neuvième long-métrage d'Édouard Molinaro en l'espace de six ans. Et comme sur tous ses films tout au long des années 60, le cinéaste s'avère assez bluffant dans la façon...
Test Blu-ray : Des pissenlits par la racine
Des pissenlits par la racine est un film tourné rapidement, à l’économie, par un Georges Lautner pas encore auréolé de ses plus grands succès publics. Pour autant, il se révèle déjà une merveille de précision et de tempo comique, un véritable travail d’orfèvre, nous proposant une harmonie totale et absolue entre la mise en scène de Lautner et l’écriture de Michel Audiard.
Test Blu-ray : Le bon roi Dagobert
Si à la base, le scénario du Bon roi Dagobert signé Gérard Brach était, parait-il, un modèle de rigueur historique, le film de Dino Risi sorti sur les écrans français durant l’été 1984 ne rend pas forcément justice aux recherches méticuleuses menées par le scénariste sur les Rois Fainéants et leur époque. Le film s’avère en effet littéralement « vampirisé » par la personnalité de Coluche, qui signe ici le portrait d’un roi pleutre et assez répugnant ; le franc-parler qu’il utilise, principalement au détour de deux/trois monologues riches en savoureuses saillies anticléricales, respire la bonne vieille « sagesse populaire » - euphémisme généralement d’usage quand on évoque ce bon vieux populisme des familles. Ainsi, de la rigueur historique du script d’origine, Risi ne retiendra au final que les aspects les plus obscènes et peu ragoutants.
Test Blu-ray : Mortelle randonnée
S’il est probablement le film que Claude Miller aimait le moins au sein de sa filmographie, Mortelle randonnée constitue un « lien » indispensable entre deux pans de son œuvre, un trait d’union réunissant au cœur d’un polar surréaliste d’une richesse incroyable une partie des acteurs qui peuplaient ses premiers films (Patrick Bouchitey, Michel Such), se mêlant à la « bande » créée autour de Garde à vue (Michel Audiard, Michel Serrault, Guy Marchand). C’est également le film qui a fait prendre conscience à Miller de la direction qu’il désirait réellement faire prendre à sa carrière – après les expérimentations formelles pratiquées sur ce film, on ne trouvera plus dans sa filmographie de traces de ce genre de photographie léchée et de plans composés avec un soin maniaque par le chef opérateur Pierre Lhomme pour flatter les pupilles du spectateur.
Test Blu-ray : Garde à vue
Avant d'être le face à face que tout le monde connait entre deux acteurs au sommet de leur Art (Michel Serrault et Lino Ventura), Garde à vue s'imposait comme le film de toutes les contraintes pour Claude Miller. Après deux films aussi intimistes que réellement lumineux, le cinéaste abordait en effet un long-métrage paraissant à mille lieux de son univers esthétique : adapté d'une série noire, tourné en studio, sur le principe du huis-clos et sur une partition de dialogues extrêmement précise signée Michel Audiard... Qui aurait cru qu'en 1981, en acceptant ce film « de commande », très éloigné de l'univers de ses deux premiers longs-métrages, Claude Miller signerait avec Garde à vue un des plus grands classiques du cinéma français ?
Hommage à Pierre Tchernia
L'ex Monsieur Cinéma d'Antenne 2 est décédé à l'âge de 88 ans dans la nuit du vendredi 7 octobre. Pierre Tchernia restera comme l'une...
Test Blu-ray : Le cri du cormoran le soir au-dessus des...
Dans la riche carrière de Michel Audiard, il y a les grands films « sérieux » auxquels il a apporté sa touche inimitable et unique, et puis il y a les « fantaisies » potaches et surréalistes auxquels sa patte apporte une valeur ajoutée considérable.