Tag: Michael Cimino
Festival Play it again 2021 : la sélection officielle
Depuis que l'on a appris la semaine dernière que les cinémas français devraient enfin rouvrir leurs portes le 19 mai, les dates de sortie des films restés pendant de longs mois dans les cartons des distributeurs tombent à un rythme soutenu.
En librairie de cinéma depuis le mois de novembre 2020
Après de longues semaines d'une contestation infructueuse auprès du gouvernement sur la valeur essentielle des biens culturels, les librairies ont rouvert en France le week-end dernier. Les cinémas feront de même dans une petite dizaine de jours. Pour faire le lien entre les deux, patienter avec les exploitants et encourager les libraires en quelque sorte, on vous a établi la liste nullement exhaustive des livres de cinéma en vente depuis le début du mois de novembre.
Cannes 70 : chants (et contrechamps) du cygne
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Cannes 70 : Joyeux anniversaire, Isabelle Huppert !
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Critique : Close Encounters with Vilmos Zsigmond
Il est considéré comme l’un des directeurs de la photographie les plus réputés du Nouvel Hollywood, cette période exaltante durant laquelle plusieurs artistes, sous l’influence du cinéma européen, surent réinventer et renouveler les archétypes narratifs et formels du classicisme hollywoodien. Durant les années 70, Vilmos Szsigmond aura façonné l’esthétique picturale de quelques-uns des réalisateurs les plus talentueux d’Hollywood : Jerry Schatzberg, Robert Altman, Michael Cimino, Steven Spielberg ou encore Brian de Palma… Depuis l’annonce de son décès, le 1er janvier 2016 à l’âge de 85 ans, divers hommages consacrés à son travail ont émaillé l’agenda cinéphilique. Par ailleurs, et sous l’égide de Pierre Filmon, Vilmos Szsigmond est également l’objet d’un documentaire visant à mettre en lumière aussi bien son parcours que sa sensibilité artistique.
Test Blu-ray : Silent running
Dans les années 70, et avant l’avènement de Star Wars, la science-fiction américaine n’avait de cesse de surprendre le spectateur. Après l’électrochoc 2001, odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1969), bien des cinéastes ont décidé d’utiliser le genre afin de proposer une réflexion philosophique sur la place de l’homme dans l’univers, façon plus ou moins détournée de confronter le comportement de l’homme vis-à-vis de son environnement immédiat. Destruction de la nature, guerres, dérives totalitaires ou scientifiques… Que restera-t-il à l’avenir du monde dans lequel nous vivons ? D’Abattoir 5 (George Roy Hill, 1972) à Phase IV (Saul Bass, 1974) en passant par Silent running (Douglas Trumbull, 1972), L’homme qui venait d’ailleurs (Nicholas Roeg, 1976), La planète des singes (Franklin J. Schaffner, 1968), Soleil vert (Richard Fleischer, 1973) ou même THX 1138 (George Lucas, 1971), tous ces films semblaient s’interroger sur l’état du monde que l’homme laisserait aux générations futures. Une préoccupation qui résonne d'ailleurs très largement chez d'autres cinéastes à l'époque de l'avènement du « Nouvel Hollywood » qui, guerre du Vietnam oblige, fait de l'humain et d'une opposition farouche à toute forme de guerre ses sujets de prédilection.
Hommage au cinéaste Abbas Kiarostami
Le cinéma iranien existait-il avant Abbas Kiarostami ? Au risque d'être prise pour radicale, la question est plutôt légitime, son œuvre ayant permis de découvrir une cinématographie méconnue à défaut d'être inexistante. Comme vient de le déclarer La dessinatrice et réalisatrice Marjane Satrapi à l'AFP : «Sans lui, je n'aurais jamais pu faire Persepolis. En Europe, on avait vu ses films, donc on ne voyait plus les Iraniens comme un peuple de terroristes, mais comme des êtres humains. Il a ouvert la voie à toute une génération d'artistes iraniens. Nous lui sommes tous redevables». Akira Kurosawa, disparu en 1998, l'avait déjà adoubé avec enthousiasme à l'occasion d'une rencontre en septembre 1993 (compte-rendu à retrouver sur le site Cinephilia & Beyond en anglais) : «Quand Satyajit Ray est décédé, j’ai été très déprimé. Mais après avoir vu les films de Kiarostami, j’ai remercié Dieu de nous avoir donné exactement la bonne personne pour prendre sa place».
Décès du réalisateur anglais Robin Hardy
Certains réalisateurs sont reconnus pour une filmographie abondante, riche, variée en multiples coups d'éclats qui les ont ancré dans l'Histoire du 7ème Art grâce...
Michael Cimino n’est plus
« Michael Cimino est mort, en paix, entouré des siens et de ces deux femmes qui l'aimaient. Nous l'aimions aussi. » C'est avec ces mots que...
Test Blu-ray : Desperate hours
Le temps contribuera cela dit certainement à réévaluer Desperate hours à la hausse un jour ou l’autre. Car si Desperate hours n’a certes pas l’ampleur de ses films précédents, qui tiennent pour beaucoup de la « fresque » où l’homme parvient grâce à son courage et à sa noblesse à laisser son empreinte dans l’Histoire avec un grand H
Test Blu-ray : L’année du dragon
Les années 80 ont vu défiler leur lot de stars éphémères, déchues lors de la décennie suivante. Mickey Rourke fait partie de ces étoiles filantes, dont la traversée du désert aura par la suite duré jusqu’en 2008, année de la résurrection avec The wrestler. Ce qui restera néanmoins le sommet de sa carrière aux yeux du public demeure sa collaboration avec Michael Cimino sur L'année du dragon en 1985.
A Girl walks home alone at night : entretien avec Ana...
Entretien avec Ana Lily Armirpour, la réalisatrice de A Girl walks home alone at night sorti en salles le 14 janvier et en DVD...