Tag: Le chat qui fume
Test Blu-ray : A la recherche du plaisir
Alla ricerca del piacere sera à coup sûr considéré comme un thriller aux allures de giallo tout à fait recommandable, hyper-esthétisé et bénéficiant de cadrages et de lumières très travaillés, que cela soit dans la représentation de la ville de Venise ou la mise en place des scènes érotiques qui émaillent le métrage.
Test Blu-ray : La longue nuit de l’exorcisme
Si les dérives gore et les excès en tous genre ne représentent finalement qu'une petite partie de l'imposante filmographie de Lucio Fulci, beaucoup de cinéphiles résument son œuvre au tournant qu'elle a pris en 1979 avec L'enfer des zombies, et qui se prolongerait grosso-modo jusqu'en 1982.
Test Blu-ray : Tropique du Cancer
Tropique du Cancer est un film absolument schizophrène. Tourné au début des années 70, ce pur film d’exploitation à la sauce italienne est un melting pot d’influences diverses, se situant à la croisée des chemins entre plusieurs genres très populaires à l’époque.
Test Blu-ray : Terreur sur la lagune
Resté inédit en France depuis son exploitation en VHS dans les années 80 sous les couleurs de Hollywood Vidéo, Terreur sur la lagune (Antonio Bido, 1978) faisait, jusqu'à ce que Le chat qui fume le ressorte de ses cartons magiques fin 2016, partie de ces films un peu « oubliés », malgré des qualités techniques tout à fait recommandables.
Test DVD : Pulsions cannibales
Porté par un John Saxon qui, à l’époque, tournait beaucoup en Italie et qui, toujours selon les dires de Giovanni Lombardo Radice, n’aimait pas le film et tournait juste pour l’argent, Pulsions cannibales s’impose néanmoins comme une bisserie absolument délectable, et assurément l’un des films dont on se souviendra dans la carrière de Saxon. En effet, il s’avère rythmé et solidement mis en scène : on sent vraiment une « vision » derrière la caméra, composant habilement les plans et plaçant d’office le film avec le haut du panier de ce qui se tournait en matière de bis au début des années 80. Proposant qui plus est quelques revirements
Test Blu-ray : La nuit des diables
Pour ceux qui l’ignoreraient, La nuit des diables est l’adaptation d’une nouvelle de Alexis Nikolaïevitch Tolstoï intitulée « La famille du Vourdalak », récemment rééditée en France sous le titre « Une famille de vampires » (2011, éd. de L’Herne).
Test Blu-ray : Exorcisme tragique
Vous pouvez tenter l'expérience autour de vous : à l'annonce du doux nom de Romano Scavolini, les oreilles de l'amateur de bis craspec et de « video nasties » ayant fait les beaux jours des vidéo-clubs des années 80 se dressent immédiatement, comme irrémédiablement attirés par un radar mystérieux, que seul semble animer le goût du sang et de l'étrange.
[Sorties Blu-ray / DVD] Le chat qui fume toute la concurrence...
Après des années d'attente, Le chat qui fume est heureux de vous annoncer la sortie du film culte de Lucio Fulci, LA LONGUE NUIT DE L'EXORCISME (1972).
Test DVD : L’Antéchrist
Réponse italienne à L’exorciste de William Friedkin tourné l’année précédente, L'antéchrist a su marquer durablement les mémoires, sûrement grâce à une poignée de scènes-choc et à la superbe photo du film, signée Joe d'Amato.
Test DVD : L’affaire de la fille au pyjama jaune
Sorti en 1977, L’affaire de la fille au pyjama jaune arrive un poil après la bataille : comme le péplum ou le western spaghetti, le giallo a lentement décliné au fil des ans et à laissé place à d’autres genres de cinéma d’exploitation, et dans la deuxième moitié des années 70, les producteurs ne se risquaient plus des masses à investir dans ce genre de récit.
Test DVD : Journée noire pour un bélier
Réalisateur peu prolifique mais plutôt connu des amateurs de bis, Luigi Bazzoni se voit mis à l’honneur ce mois-ci grâce à la sortie en DVD de Journée noire pour un bélier (Giornata nera per l'ariete) chez nos amis du Chat qui fume.
Test Blu-ray : Le venin de la peur
Le venin de la peur est un giallo très classique, répondant en tous points au cahier des charges du genre. Tout d'abord, co-production européenne oblige, nous aurons droit à l'inévitable casting international propre au bis de l'époque, et au cœur duquel on trouve forcément à boire et à manger, du français Jean Sorel au britannique Stanley Baker