Tag: Le chat qui fume
Test Blu-ray : Le cirque de la peur
Avec les années qui nous séparent de sa sortie dans les salles obscures, une espèce d’immense méprise s’est créée autour du Cirque de la peur. Peut-être parce qu’il fut longtemps invisible en France...
Test Blu-ray : Massacre à la tronçonneuse 2
On vous épargnera ici le lieu commun selon lequel Massacre à la tronçonneuse 2 n’a absolument rien à voir avec le film original (et mythique) tourné par Tobe Hooper quelques douze ans auparavant... Vous le savez pertinemment.
Test Blu-ray : Comme des chiens enragés
Polar énervé réalisé en 1976 par Mario Imperoli, Comme des chiens enragés est un film d’exploitation pur et dur. Bien entendu, en tant que film d’exploitation destiné à un public populaire, le long-métrage surfe sur des thématiques en vogue dans les années 70, et s’impose comme le pur produit de son époque.
Test Blu-ray : Emmanuelle et Françoise
Emmanuelle et Françoise, qui vient de débarquer en Combo Blu-ray + DVD sous les couleurs du Chat qui fume, est un film "Gore" de Joe D'Amato, alias Aristide Massaccesi - l'homme aux 199 films sur IMDb.
Test Blu-ray : Les rendez-vous de Satan
La sortie des Rendez-vous de Satan en Blu-ray et DVD sous les couleurs du Chat qui fume constitue un grand événement pour les admirateurs d'Edwige Fenech, actrice française naturalisée italienne.
Test Blu-ray : Chats rouges dans un labyrinthe de verre
Chats rouges dans un labyrinthe de verre nous propose une habile mise en abîme sur la question du « regard », et par extension sur la place du spectateur, tendant à dresser des passerelles entre cinéma et voyeurisme pur – une réflexion sur l’image que n’aurait peut-être pas renié un cinéaste tel qu’Alfred Hitchcock…
Test Blu-ray : Le journal intime d’une nymphomane
La filmographie de Jess Franco, qui compte plus de 200 films étalés sur une soixantaine d’années d’activité, a de quoi laisser rêveur. Le journal intime d'une nymphomane est disponible en Blu-ray chez Le Chat qui fume.
Test Blu-ray : Les possédées du diable
Comme beaucoup d'autres films d'exploitation des années 70, Les possédées du diable est connu sous de nombreux titres différents. Cependant, il est rare qu'un seul et même film ait à son actif une telle pelletée de titres trompeurs et/ou mensongers. Le plus célèbre d'entre eux est bien sûr son titre « international », Lorna the Exorcist : MENSONGE éhonté, le film ne traite absolument pas d'exorcisme, ce titre opportuniste n'est là que pour tromper le chaland de l'époque, le succès de L'exorciste (1973) étant encore forcément dans toutes les mémoires. De plus, Lorna serait plutôt la « démone » dans l'histoire, et pas du tout une exorciste.
Test Blu-ray : La secte
Avec La secte, Michele Soavi met l’accent sur le scénario, et la mise en images du récit se fera d’une façon nettement plus sobre, loin des excès foutraques et réjouissants du film précédent…
Test Blu-ray : Sanctuaire
En France, la carrière de Michele Soavi a véritablement explosé en 1995 avec la découverte de Dellamorte Dellamore, que de nombreux cinéphiles considèrent comme un véritable chef d’œuvre.
Test Blu-ray : L’assassin a réservé neuf fauteuils
L’assassin a réservé neuf fauteuils est un PUTAIN de giallo. Totalement inédit en France, le film de Giuseppe Bennati est d’ailleurs non seulement un putain de giallo, mais une saloperie de petite bande d’exploitation maligne et vénéneuse qui ne se cantonne pas à ce seul et unique genre...
Test Blu-ray : San Babila, un crime inutile
Sorti en 1976 en Italie (et possiblement distribué sur une partie du territoire français dans la première moitié des années 80 sous le titre Tuer pour tuer), San Babila : Un crime inutile est un film pour le moins singulier, qui dut poser quelques problèmes de conscience à ses producteurs lors de sa sortie dans les salles de cinéma. Ne sachant probablement pas trop comment « vendre » le film de Carlo Lizzani, les producteurs ou les distributeurs ont choisi d’opter pour une affiche bien agressive. Etant donné que le casting du film était quasi-uniquement composé d’inconnus du grand public, cette dernière nous montrait deux pognes serrées sur des flingues (à priori des Walther P38), ceux-ci étant pointés en direction de silhouettes aux formes suggestivement féminines, présentant la particularité de proposer des cibles placées sur les zones les plus sensibles de leur anatomie (poitrine, région pelvienne). Cette affiche, subtil mélange de violence et de provocation, nous ramène directement aux grandes heures du « poliziottesco » ou néo-polar italien, genre très populaire durant la décennie 70. Ce grandiose sous-genre du bis mettait le plus souvent en scène des faits divers sordides dans l’Italie des « années de plomb », et était peuplé de personnages borderline, anti-héros anarchistes et/ou inadaptés.