Tag: Laurent Lafitte
Arras 2024 : Sarah Bernhardt La divine
Il y a plus de cent ans, pour quelle raison précise Sarah Bernhardt était-elle célèbre ? En tant qu'actrice d'exception qui fascinait les spectateurs du monde entier avec son jeu expressif ou bien, de manière plus prosaïque, parce qu'elle était la première célébrité de l'âge moderne, capable de médiatiser et de monnayer son statut comme personne d'autre avant elle ?
Test Blu-ray : Le Comte de Monte-Cristo
Le carton des Trois Mousquetaires a permis à Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, scénaristes des deux films, de se pencher sur une énième adaptation du Comte de Monte-Cristo, dont ils assureraient également la réalisation.
Critique Express : Les barbares
Un film qu'on déguste avec délectation, un film qui, certes, est loin d'apporter une révolution d'un point de vue purement cinématographique mais qui, à la sortie de la salle, permet de dire à d'autres personnes ou de se dire in petto : qu'est ce que c'est jouissif de passer du rire aux larmes ou vice versa en l'espace de quelques secondes !
Test Blu-ray : Le Petit Nicolas – Qu’est-ce qu’on attend pour...
Le Petit Nicolas - Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? est le premier film d'animation consacré au personnage du Petit Nicolas, et contrairement à la série TV créée en 2009, le film renoue enfin avec le style des dessins de Sempé.
Critique : Pour la France
On ne peut s'empêcher de préciser que c'est une histoire très personnelle que raconte le réalisateur dans "Pour la France".
Test Blu-ray : Tout le monde aime Jeanne
Diaphana nous propose aujourd'hui de (re)découvrir Tout le monde aime Jeanne sur support Blu-ray : une comédie fantasque qui mélange l'animation et les prises de vue réelles, avec Blanche Gardin et Laurent Lafitte.
Critique Express : Tout le monde aime Jeanne
Malgré les prestations plutôt convaincantes de Blanche Gardin dans le rôle de Jeanne et de Laurent Lafitte dans celui de Jean, malgré le plaisir qu'on a toujours à retrouver Marthe Keller, "Tout le monde aime Jeanne" entre dans la catégorie des films sympathiques, plutôt drôles, mais qui, malheureusement, ne décollent jamais vraiment.
Vu sur OCS : 16 ans ou presque
L'abus de confinement conduit-il à une régression psychologique ? En tout cas, cet état de suspension existentielle nous donne le temps – et parfois aussi l'envie – de regarder des films qu'on aurait autrement laissés de côté.
Test DVD : Les fauves
Découvert en 2014 avec la comédie Tristesse Club, Vincent Mariette change aujourd'hui radicalement de registre avec Les fauves, film fantastique sous perfusion de Jacques Tourneur, évoquant tout à la fois La féline (1942) et L'homme léopard (1943). Si on ne retrouve pas dans ce thriller l'humour à froid tendance absurde de son film précédent, le cinéaste fait en revanche à nouveau preuve d'un talent singulier quand il s'agit de développer une ambiance, une atmosphère étrange, aux confins du rêve et de la réalité, d'autant plus efficace que le spectateur ne sait jamais réellement si ce qu'il est en train de voir est réel ou s'il s'agit d'une projection de l'esprit de l'héroïne. Parce qu'en effet, à l'image des films de Tourneur que l'on vient d'évoquer, Les fauves pourra tout à la fois être vu comme un « simple » récit surnaturel ou comme un récit fantasmé de coming of age à la sauce psychanalytique. Qui sont « Les fauves » du titre ? Même quand arrive le générique de fin, il n'est pas certain que le spectateur puisse répondre avec certitude à cette question.
Test Blu-ray : Le Grinch
S'il est encore relativement peu connu en France, l'auteur pour enfants Dr. Seuss (1904-1991) constitue une véritable institution aux États-Unis, au point de voir régulièrement ses créations adaptées et réadaptées au cinéma et à la télévision. Après deux adaptations sous la forme de courts-métrages en 1966 et 1992, puis un long-métrage « live » avec Jim Carrey en 2000, Le Grinch revient donc à nouveau afin de gâcher Noël dans un film d'animation mis en boite par les équipes d'Illumination Entertainment. Mais que ceux qui craignaient que la boite se cachant derrière le succès des Minions rendent le personnage du Grinch un peu trop « jaune » se rassurent : les auteurs de chez Illumination ont certes retravaillé l'histoire d'origine en la modelant à leur propre fantaisie, en y ajoutant des éléments et des détails narratifs absents du bouquin original de Dr. Seuss, mais ils ont parfaitement respecté la tonalité et l'esprit du Grinch.
Critique : L’heure de la sortie
Sébastien Marnier conduit son récit avec un talent certain, ce qui, après "Irréprochable", en fait un réalisateur dont on suivra les prochaines réalisations avec attention.
Critique : Au revoir là-haut
Quelques années après 9 mois ferme, Albert Dupontel revient derrière la caméra pour Au revoir là-haut, adaptation d’un roman de Pierre Lemaître. Via un sujet plutôt dramatique, le cinéaste signe une œuvre personnelle et techniquement irréprochable.