Tag: Julia Ducournau

Eh non, ce n'est toujours pas pour ce soir à l'Olympia ! (Petit clin d'œil à la bande-annonce.) Mais dès demain, le rideau s'y lèvera...

C'est un arrière-goût pas forcément plaisant de déjà-vu qui accompagne la saison 2021 des European Film Awards. Un an après une cérémonie réduite au strict minimum, l'Académie du cinéma européen a dû une fois de plus s'accommoder de la situation sanitaire, nullement au beau fixe en Allemagne et ailleurs sur le vieux continent.

Un gros coup de gueule Enfin ! 28 ans après  La leçon de piano de Jane Campion, la Palme d'or a de nouveau été décernée...

Malgré les efforts encourageants d’une nouvelle génération de cinéastes biberonnés à un cinéma dit de genre, il est toujours difficile pour ces jeunes metteurs en scène ambitieux de se faire accepter par le public, qui continue à penser que ce type de cinéma ne peut venir de France. Il faut dire que à la fin des années 2000, un certain nombre de représentants du genre ont émergé, pas toujours pour le meilleur, ce qui a eu pour effet de décrédibiliser un peu plus un courant quasiment mort-né. Mais comme il ne faut jamais désespérer et qu’il suffit parfois d’un rien pour jeter les projecteurs sur un genre, quel qu’il soit, le succès critique, et, dans une moindre mesure, public, de l’excellent Grave a prouvé que cinéma de genre assumé pouvait rimer avec qualité dans notre beau pays. Après Julia Ducournau, c’est au tour de Coralie Fargeat de se lancer dans la grande aventure, avec un film casse gueule sur le papier, car attaché au sous genre particulièrement conspué du « rape and revenge » dont le peu d’ambition est tout entier dévoilé dans son appellation. Ce qui surprend d’emblée dans le film, c’est à quel point la jeune cinéaste assume entièrement la simplicité absolue de son concept, ne cherchant jamais à se donner de grands airs avec des considérations auteuristes mais cherchant au contraire à tirer le meilleur parti d’un argument lui permettant de se lâcher totalement dans sa mise en scène, livrant un pur exercice de style ultra stylisé, dont le point de départ « féministe » ne devient très vite qu’un prétexte à un pur défouloir gore flattant tout aussi bien les bas instincts que la rétine affolée par la beauté plastique de l’ensemble.

Grave est une métaphore de l’adolescence qui joue avec nos sens pour créer un paradoxe dans notre façon de voir les choses, dans notre appréhension des actes de la protagoniste. Chaque plan est millimétré jusqu’à ce final cynique de haute volée.

70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

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Premier film de Julia Ducournau, Grave, œuvre pop par excellence raconte le quotidien d’une jeune adolescente un peu coincée dans sa nouvelle école de vétérinaire. Après le traditionnel bizutage, la protagoniste doit s’adapter à de nouveaux repères...

  Voici le palmarès de la 24ème édition du Festival du Film Fantastique de Gérardmer qui s'est déroulé du 25 au 29 janvier 2016. Les...

Vendredi 21 octobre, jour 8 du Festival 2016 : 3 films en avant-première, "Lettres de la guerre" de Ivo Ferreira, "Massilia Sound System le film" de Christian Philibert et "Grave" de Julia Ducournau, plus un film pas vraiment en avant-première tout en l'étant quand même un peu, "600 Euros" de Adnane Tragha.

Ce week-end plusieurs festivals se sont déroulés et/ou achevés, voici en résumé les palmarès du FEFFS consacré au cinéma fantastique à Strasbourg, du FIFIGROT...