Tag: John Hurt
Test Blu-ray : Elephant Man
Elephant Man est un film à l’impact indéniable, récompensé aux Césars 1982 dans la catégorie meilleur film étranger.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Alien
Il existe une poignée de films au sujet desquels on rencontre une espèce de consensus critique, et que tout le monde considère comme des chefs d’œuvres absolus. Alien – Le huitième passager fait partie de ces longs-métrages touchés par la grâce.
Test Blu-ray : Wild Bill
Wild Bill aurait amplement mérité une sortie en salles. Cette évocation des dernières années de la vie de « Wild Bill » Hickok débarquait deux ans après Impitoyable, le chef d’œuvre de Clint Eastwood, le « chant du cygne » du western classique...
Dinard 2017 : jury, invités et sélection
La 28ème édition du Festival du film britannique aura lieu cette année du mercredi 27 septembre au dimanche 1er octobre 2017, toujours à Dinard....
Test Blu-ray : The hit
1984 fut une bonne année pour le polar. Parallèlement à la révolution Sang pour sang (Blood simple) des frères Coen, on aura également vu débarquer sur les écrans le britannique The hit signé Stephen Frears, précurseur d’un genre de polar un peu à part qui exploserait durant la décennie suivante sous les impulsions croisées de Quentin Tarantino et de quelques autres, et que l’on pourrait appeler polar « de pieds nickelés ». Mettant en scène des truands improbables -voire franchement idiots- embarqués dans des histoires qui les dépassent complètement, et ayant des réactions parfois franchement irrationnelles, le polar « de pieds nickelés » compte à ce jour d’innombrables représentants, et The hit est en quelque sorte leur ancêtre à tous.
Décès de l’acteur John Hurt
La journée du samedi 28 janvier 2017 s'est ouverte avec l'annonce à quelques heures d'écart de la disparition de deux grands acteurs du cinéma...
Critique : Jackie
Carrément plombé par une musique omniprésente et particulièrement insupportable, "Jackie" s'emmêle en plus les pinceaux dans un montage particulièrement alambiqué.
Test Blu-ray : L’étrangleur de Rillington Place
En 1968, Richard Fleischer signait avec L’étrangleur de Boston un film qui marquait le renouveau du thriller, un trip violent et hypnotique, très américain, avec lequel le cinéaste parvenait à se débarrasser des oripeaux du « Film Noir » qui avait régné sur le genre jusqu’à la fin des années 50. Refusant de surfer sur le succès de son film, le réalisateur part tourner au Royaume-Uni en 1971 10 Rillington Place, adaptation d'un sombre fait divers ayant défrayé la chronique en Angleterre à la fin des années 50. Pour sa sortie en France, le film sera renommé L'étrangleur de Rillington Place, afin de dresser une passerelle entre ces deux « étrangleurs »... Mais la comparaison s'arrête là ; il s'agit en effet de deux films radicalement différents.
Don Quichotte de Terry Gilliam : c’est (re) parti
Une rencontre qui sonne comme une évidence : un producteur branque et audacieux et un réalisateur branque et audacieux vont travailler ensemble. Paulo Branco...
Berlinale 2016 : les Teddy Awards
Quelques heures avant le palmarès du jury de la compétition officielle présidé par Meryl Streep, nous connaissons déjà celui des Teddy Awards qui fêtait...
Test Blu-ray : Le cri du sorcier
Des OVNI filmiques ou OFNI, films uniques difficiles à rattacher à un genre ou une mouvance en particulier, on en croise finalement régulièrement sur nos écrans de cinémas. Mais rarement le terme d'OVNI aura-t-il si bien correspondu à une œuvre que dans le cas du Cri du sorcier. Inclassable, unique, bizarroïde, le film de Jerzy Skolimowski évoque bien, par certains aspects, l'étrangeté d'un Wicker man (Robin Hardy, 1973), mais dans le fond, Le cri du sorcier ne ressemble vraiment à aucun autre film.
Test Blu-ray : Hercule
L'esprit « bande dessinée » de cet Hercule version cinéma est d'avantage à chercher du côté des bandes dessinées Conan éditées par Aredit / Artima dans les années 80 : Hercule est un mercenaire au grand cœur, entouré d'un groupe d'amis fidèles ayant chacun leur spécialité (l'archère, le sage, le fou de guerre, le bonimenteur, etc). Les douze travaux ainsi que les nombreux autres exploits d'Hercule ne font office que de background interchangeable et presque transparent, mais qu'à cela ne tienne : l'idée est de suivre un groupe de personnages orientés « heroic fantasy »