Tag: Jim Mickle
30 films inédits en salles à redécouvrir pendant le #confinement
Alors que l'on en a encore au minimum pour trois semaines de confinement, la devise est plus que jamais claire : #RestezChezVous – détendez-vous, faites l'amour, lisez, regardez des films. Pour ce qui nous concerne, regardez des films et lisez-nous, surtout. Depuis plus d'un mois maintenant, les cinémas sont fermés en France, alors c'est cinéma à la maison pour tout le monde.
Critique : Green Room
Deux ans après Blue Ruin présenté dans cette même section, la Quinzaine des Réalisateurs nous redonnait déjà des nouvelles de son réalisateur Jeremy Saulnier avec Green Room lors de l’édition 2015 du Festival de Cannes.
Test Blu-ray : Cold in July (Juillet de sang)
Cold in July est la première incursion de Jim Mickle hors des terres balisées du film d'horreur... Mais le réalisateur en maitrise toujours les codes, comme nous le montreront brillamment certaines scènes à suspense émaillant ce film noir moderne, revenant au genre le plus respectueusement possible, sans la distance que lui ont apporté les frères Coen au milieu des années 90.
Cold in July flingue ses rivaux
Révélé lors de la dernière édition de la Quinzaine des Réalisateurs en mai dernier, le thriller de Jim Mickle sort ce 31 décembre. Une...
Cold in July : la BO à ne pas rater
Le nouveau long-métrage de Jim Mickle (We are what we are, Stake Land) est portée par son trio d'acteurs inoubliables, Michael C.Hall, Sam Shepard...
Cannes 2014 : Cold in july
Viva il cinema (noir) ! Un an seulement après la présentation du film de cannibales We are what we are, Jim Mickle (Stake Land) revient à la Quinzaine des Réalisateurs avec son nouveau long-métrage adapté d'un roman de Joe Lansdale, à qui l'on devait déjà Bubba Ho-tep.
Cannes 2014 : tous les films des sélections parallèles
L'ensemble des sélections des longs-métrages des sélection parallèles ont été annoncées ces derniers jours.
Les films sont classés par ordre alphabétique des réalisateurs, certains...
Critique : Ne nous jugez pas
Un homme titube, semble souffrir puis s'écroule dans la rue, crachant du sang, visiblement victime d'un empoisonnement. Très vite, son corps est ramassé et la rue nettoyée. Ce n'est pas l'élément le plus inhumain du film, quoique... La famille de l'homme est dans l'attente : où est-il ? Va-t-il ramener à manger ? Là réside l'inquiétude de la famille, qui a besoin de se nourrir, et d'une nourriture un peu spéciale : nous sommes en présence d'une famille de cannibales.
We Are What We Are – Festival de Gérardmer 2014
La valeur croissante de Jim Mickle (Mulberry Street, Stake Land) dans le cinéma américain a été confirmée par sa sélection en mai dernier à la Quinzaine des Réalisateurs avec ce portrait glacé d’une famille, les Parker aux moeurs pas très catholiques (ou alors trop) et gastronomiques bien particulières.
Deauville, épisode 6 !
Vendredi 6 septembre, lendemain de soirée. Comme prévu, le champagne a coulé à flot à la villa Cartier la veille, et le réveil est difficile. Tentant de me remettre de cette soirée improbable entre les membres de jurys, les réalisateurs et acteurs de films et autres guests de passage, je me lève difficilement pour la projection de 11h : We are what we are.
Stake Land
Les États-Unis sont devenus des terres de désolation. Une infestation massive de vampires putrides a plongé le pays dans un fondamentalisme sectaire tout aussi ravageur. Ce triple danger qui guette en permanence les protagonistes de Stake Land dépeint le traditionnel triptyque du film post apocalyptique : une poignée de survivants évoluant dans le chaos de la civilisation, en proie à l’extinction de l’espèce humaine et à la folie des hommes.