Tag: Jeff Bridges
Jeu Concours : Stay Hungry – MediaBook Collector Blu-ray + DVD...
À l’occasion de la sortie en vidéo du film STAY HUNGRY, le film qui a révélé Arnold Schwarzenegger, Bubbel Pop' Édition et critique-film.fr vous proposent de participer à un jeu concours pour gagner un Mediabook Blu-ray + DVD + Livre du film !
Test Blu-ray : The Fisher King
The Fisher King a incontestablement marqué le début d'une nouvelle ère pour le réalisateur Terry Gilliam. A l’époque, l’ex-membre des Monty Python était déjà considéré comme un cinéaste de génie, mais son aura demeurait encore relativement confidentielle.
Test Blu-ray : Contre toute attente
Contre toute attente s'inscrit dans une large vague de remakes de succès du Film Noir des années 40/50 : Le facteur sonne toujours deux fois en 1981, J'aurai ta peau en 1982, Scarface en 1983...
30 films inédits en salles à redécouvrir pendant le #confinement
Alors que l'on en a encore au minimum pour trois semaines de confinement, la devise est plus que jamais claire : #RestezChezVous – détendez-vous, faites l'amour, lisez, regardez des films. Pour ce qui nous concerne, regardez des films et lisez-nous, surtout. Depuis plus d'un mois maintenant, les cinémas sont fermés en France, alors c'est cinéma à la maison pour tout le monde.
Test Blu-ray : Huit millions de façons de mourir
Figure incontournable du « Nouvel Hollywood », réalisateur de films importants tout au long des années 70 (La dernière corvée, Le retour…), Hal Ashby est pourtant, d’une façon assez incompréhensible, assez largement retombé dans l’oubli de nos jours. Ainsi, son œuvre s’avère aujourd’hui assez mal connue du grand public, contrairement à certains de ses contemporains tels que Monte Hellman, Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Brian De Palma… Il s’agit peut-être là d’une malédiction touchant les cinéastes se prénommant Hal, puisque cet oubli prématuré a également touché la carrière de Hal Hartley, cinéaste indépendant majeur des années 90.
Test Blu-ray : Sale temps à l’hôtel El Royale
La jaquette du Blu-ray de Sale temps à l’hôtel El Royale affiche, sans complexe, un néologisme imaginé par nos confrères des Fiches du cinéma : le film de Drew Goddard y est en effet qualifié de « Tarantinesque ». Donc, bien entendu, sous perfusion du style développé depuis des années maintenant par Quentin Tarantino. Il est vrai que le script de Drew Goddard a des airs de « petit malin », et multiplie les similitudes avec le cinéma du papa de Pulp fiction : découpage en chapitres, récit organisé autour de plusieurs personnages d’égale importance, tunnels de dialogues décontractés, soudains éclairs de violence, narration allant et venant d’avant en arrière pour coller au point de vue de tel ou tel personnage, attachement à la Motown et plus globalement à la soul music des années 50/60…
Test Blu-ray : Wild Bill
Wild Bill aurait amplement mérité une sortie en salles. Cette évocation des dernières années de la vie de « Wild Bill » Hickok débarquait deux ans après Impitoyable, le chef d’œuvre de Clint Eastwood, le « chant du cygne » du western classique...
Golden Globes 2019 : le palmarès
La 76ème édition des Golden Globes a eu lieu ce matin, heure française, à Los Angeles. La cérémonie a été animée par les acteurs Sandra Oh et Andy Samberg. Alors que les choses devraient se clarifier à quinze jours de l'annonce des nominations aux Oscars, les choix de la presse étrangère à Hollywood n'ont guère apporté de nouvelle certitude.
Test DVD : Liaisons à New York
Si à la découverte de la jaquette de Liaisons à New York, vous craigniez de subir un énième comédie romantique 2.0 se déroulant dans la « Grosse Pomme », vous pouvez d’ores et déjà vous rassurer : le film de Marc Webb n’est absolument pas de cette engeance. Il s’agit en fait d’un projet porté pendant une douzaine d’années par son scénariste Allan Loeb, puisqu’il était déjà présent sur la cuvée 2005 de la fameuse « Black List » qui recense les meilleurs scénarios n’ayant pas été porté à l’écran. Marc Webb avait été, à l’époque, attaché au projet avant même la réalisation de (500) jours ensemble, et bien avant ses compromissions Hollywoodiennes l’ayant amené à réaliser pour Sony les deux opus de The amazing Spider-Man entre 2012 et 2014.
Test Blu-ray : Kingsman – Le cercle d’or
Le premier montage de Kingsman : Le cercle d'or durait rien de moins que 3h45. Matthew Vaughn a du sabrer au montage quasiment une heure et demi de métrage, qui risquent d'alimenter toutes sortes de légendes urbaines durant les années à venir.
Critique : Kingsman – Le cercle d’or
En 2015, Kingmsan : services secrets était une très bonne surprise, qui semblait sortir d'un peu de nul part. Petit blockbuster americano-anglais, ayant coÜté "seulement" 80 millions de dollars (plus ou moins le budget d'Astérix aux J.O., chaque pays a ce qu'il mérite !), il faisait office de rafraichissement, drôle et inventif, face à une formule Marvel Studios déjà éculée, et en l'absence d'autres long-métrages ayant un budget ne dépassant pas le P.I.B. d'un petit pays. Dans les faits, Kingsman fait partie des adaptations de comics du scénariste Mark Millar, qui depuis Kick-ass négocie le droit de ses adaptations parfois même avant que l'œuvre d'origine ne soit publiée. Le film, et sa suite, ne sont pourtant pas de simples adaptations réalisées par de simples faiseurs hollywoodiens. Elles sont dirigées par Matthew Vaughn qui a pu insuffler sa maîtrise visuelle de l'action. A t-il réussi, avec cette suite, à réaliser un film tout aussi sympathique que le premier ?
Première bande annonce délirante pour Kingsman 2
Après un teaser à mille à l’heure, la 20th Century Fox vient enfin de dévoiler la vraie bande-annonce de Kingsman : Le Cercle D'Or,...