Tag: James Stewart
Critique : Les Deux cavaliers
Au début des années 1960, alors qu'il avait atteint l'âge de partir sereinement à la retraite, on aurait pu croire que John Ford ne réalise plus que des films doucement crépusculaires. Or, juste après Les Deux cavaliers, il allait créer son dernier chef-d'œuvre absolu, L'Homme qui tua Liberty Valance.
Test Blu-ray : La vie est belle
Affichant une note de 8,6/10 sur le site de référence IMDb, calculée sur la base de plus de 376.000 spectateurs, La vie est belle semble unanimement considéré comme un chef d’œuvre, au point de s’offrir sur ledit site une meilleure note que Citizen Kane.
Critique : L’Odyssée de Charles Lindbergh
De nos jours, l'aviation n'a plus trop de secrets pour l'humanité, avec pour seuls enjeux restants de simples questions commerciales de durée du vol et de coûts. La frontière contemporaine se trouve ailleurs, dans l'espace plus ou moins lointain, pour les touristes fortunés quelque part entre la Terre et la lune et pour les scientifiques dans une mission de plus en plus faisable et donc probable vers la planète Mars.
Test Blu-ray : Chère Brigitte
La carrière d'Henry Koster en tant que réalisateur, qui s'étale sur plus de trente ans (de 1932 à 1966), fut surtout marquée par ses collaborations régulières avec James Stewart. Après Harvey (1950), Le voyage fantastique (1951), Mr Hobbs prend des vacances (1962) et Ah ! Si papa savait ça (1963), Chère Brigitte (1965) est donc le cinquième film réunissant les deux hommes, l'un derrière et l'autre devant la caméra.
Test Blu-ray : M. Hobbs prend des vacances
Troisième collaboration entre Henry Koster (réalisateur) et James Stewart (acteur), Mr Hobbs prend des vacances est une comédie « de vacances », à l’humour bon enfant et à l’ambiance résolument tournée vers un public familial. Critique douce-amère de l’american way of life des années 60, il narre les mésaventures de Mr Hobbs pendant ses vacances, durant lesquelles rien ne fonctionne comme prévu : la petite vie de cette famille américaine typique se voit donc gentiment bousculée, sans non plus, époque oblige, que le script n’atteigne des sommets de politiquement incorrect, à la façon d’un Vive les vacances (John Francis Daley & Jonathan M. Goldstein, 2015) par exemple. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, plus de cinquante ans après sa sortie, certaines piques balancées avec malice par le film à l’encontre de la grande hypocrisie de l’american way of life restent encore d’actualité…
Critique : Le Dernier des géants
Comme toute légende hollywoodienne qui se respecte, John Wayne dispose d’une longue et illustre carrière. Il a tourné dans tellement de films que l’on peut aisément oublier les médiocres et les mauvais pour se concentrer sur les bons, voire les chefs-d’œuvre. Cependant, John Wayne est avant tout un mythe, l’ambassadeur suprême d’une certaine conception de l’Amérique, patriote et droit dans ses bottes.
Test Blu-ray : Les Deux cavaliers
Au tournant des années 60, même les plus solides artisans du western « classique » se sont laissés aller à signer des films d’avantage dans l’air du temps, plus modernes - Les deux cavaliers est de ceux-là.
Un vrai schnock honoré par l’AFI : Steve Martin
«Je ne mérite pas ce prix, mais je souffre d'arthrite et je ne mérite pas ça non plus». C'est avec ces bons mots de...
Femme ou Démon
Bottelneck est sous la coupe d'un joueur, escroc et tricheur qui avec la complicité du maire, s'approprie les fermes et les terrains de la région.Tom Destry est appelé pour rétablir l'ordre.
Mr. Smith au sénat
Avec Mr Smith au Sénat Franck Capra réalisa son dernier film pour la Columbia. Grand succès public, il fut en France le dernier film de langue anglaise projeté avant l'interdiction nazie. Il reste un des films les plus connus du réalisateur, pas forcément sans raison.
Le Voyage fantastique
Malgré la présence de James Stewart et de Marlène Dietrich, stars d'Hollywood au très fort pouvoir de sympathie, ce Voyage fantastique (No highway in the sky) est un bel exemple de ratage complet.