Tag: Jake Gyllenhaal
Test Blu-ray : Ambulance
Michael Bay n’a jamais été un adepte de la retenue en termes de style, et ce n’est pas Ambulance qui réconciliera le cinéaste avec ses détracteurs. Car en dépit de sa nature de remake, Ambulance est vraiment un film « 100% Michael Bay »...
Oscars 2022 : les présentateurs
Le vote est clos depuis deux jours. Et dans peu de temps, la nuit de dimanche à lundi, heure de Paris, le rideau se lèvera sur la 94ème cérémonie des Oscars.
Test Blu-ray : Spirit – L’indomptable
Spirit - L'indomptable, sorti dans les salles obscures près de deux décennies après Spirit - L'étalon des plaines, et en fait un « condensé » cinématographique des 73 épisodes de la série Spirit - Au galop en toute liberté. Vous avez suivi ?
Test Blu-ray : Spider-Man – Far from home
En vingt années quasi-ininterrompues de films de super-héros, on a vu, petit à petit, se dessiner une poignée de sous-catégories au sein du genre. Parmi celles-ci s'est détachée ce qu'on pourra appeler la « comédie de super-héros ».
Critique : Wildlife – Une saison ardente
D'une facture très (trop ?) classique, le premier film réalisé par Paul Dano s'avère plutôt décevant, le sujet traité, la déliquescence d'un couple, ayant déjà fait l'objet d'œuvres autrement plus fortes.
Test Blu-ray : Life – Origine inconnue
Le Blu-ray de Life – Origine inconnue édité par Sony Pictures fait littéralement des miracles. Malgré un tournage plongé dans l’obscurité la plupart du temps, l’image est d’une précision et d’une limpidité extraordinaire, les couleurs en envoient plein les mirettes, et les contrastes sont d’une solidité à toute épreuve. La définition est purement et simplement irréprochable, le piqué d’une précision à couper le souffle,
Test Blu-ray : Nocturnal animals
Soyons direct : le nouveau film de Tom Ford est une réussite, au niveau de sa mise en scène, de sa photographie, de ses interprètes et de ses dialogues. On ne peut qu’être transporté et touché par cette œuvre qui tape là où ça fait mal. Nocturnal Animals est une œuvre coup de poing qui pourra peut-être laisser sur le carreau les personnes qui aiment les films prémâchés mais qui parlera à toutes les autres qui aiment se remettre en question
Critique : Life – Origine Inconnue
C’était un peu sur la réserve que l’on se préparait à aller voir ce nouveau métrage de Daniel Espinosa, cinéaste suédois guère réputé pour sa subtilité. Après deux longs inédits en France, nous l’avions découvert en 2011 avec Easy money, énième resucée d’un genre (le polar du nord à la Pusher) qui a ses défenseurs, mais a fini par tourner en rond à force de ne prendre aucun risque. Depuis, il n’avait pas eu l’occasion de se racheter une conduite, oscillant entre aimable série B décomplexée mais sans génie avec Sécurité rapprochée et grand ratage avec Enfant 44. Avec la sortie prochaine de Alien : Covenant, ce film semblait en plus bien mal parti pour rencontrer un quelconque succès, sa bande annonce donnant l’impression d’une série B de SF horrifique comme on en a vu des dizaines, ne se démarquant en rien des plagiats de la saga initiée par Sir Ridley Scott. Comme il n’y a rien de meilleur que de se laisser agréablement surprendre par un film dont on n’attendait rien, reconnaissons avec grand plaisir la belle surprise que constitue ce film qui, contre toute attente, place la barre haut pour le prochain Alien …
Critique : Nocturnal Animals
Soyons direct : le nouveau film de Tom Ford est une réussite, au niveau de sa mise en scène, de sa photographie, de ses interprètes et de ses dialogues. On ne peut qu’être transporté et touché par cette œuvre qui tape là où ça fait mal. Si l'on peut reprocher au réalisateur d’être quelques fois trop vague sur le message qu’il désire faire passer, l'on est forcé de se sentir concerné. Car nous avons tous vécu des relations qui se sont terminées abruptement, tous voulu éviter de ressembler à nos parents sans y parvenir et surtout tous mal interprété les signaux de notre partenaire, un jour ou l’autre.
Cette semaine sur la planète ciné (30 mai 2016)
On commence par cette première image de Alien: Covenant, suite plus ou moins directe de Prometheus, le film qui était n'était pas était n'était...
Test DVD : L’amour par accident
Les français ont découvert le cinéma de David O. Russell en l’espace de trois films magistraux : Flirter avec les embrouilles (1996), Les rois du désert (1999) et J’adore Huckabees (2004). Trois longs-métrages de doux-dingue, au propos souvent gonflé, à la fois très intéressants et beaucoup plus profonds qu’ils n’en avaient l’air, ayant automatiquement inscrit David O. Russell dans le carnet mental des « cinéastes à suivre de près » de très nombreux cinéphiles.
Quel film (re)voir ce soir (13) : Zodiac
Après la victoire de Spotlight dans la course à l’oscar du meilleur film, il est temps de se pencher sur un film qui célèbre...