Tag: Jacques Robert
Test Blu-ray : Maigret voit rouge
Troisième et dernier film de la trilogie « Maigret » interprétée par Jean Gabin, Maigret voit rouge est malheureusement le moins bon de la série. Que les choses soient claires : il s'agit d'un bon petit film, typique du cinéma policier français des années 60, c'est à dire sous influence de « série noire » et de romans de gare type SAS – le film met en effet en scène les rapports teintés de politique et de diplomation entre forces de police françaises et américaines.
Test Blu-ray : Le monocle rit jaune
Troisième épisode de la saga du Monocle, adaptation « pour de rire » des très sérieux romans du Colonel Rémy, Le monocle rit jaune joue ouvertement la carte de l’exotisme, puisqu’il se déroule en quasi-totalité à Hong Kong.
Test Blu-ray : 125 rue Montmartre
125 rue Montmartre est un récit de machination, qui invitera le spectateur à se plonger dans les arcanes d’un mystère tout droit issu d’un roman policier – littéralement parlant d’ailleurs, puisque le film de Gilles Grangier est adapté du roman éponyme d’André Gillois, publié chez Hachette en 1958. Malgré la belle collection affichée dans l’appartement de Dora Doll dans le film, le roman d’origine ne faisait pas partie de la fameuse « Série Noire » de chez Gallimard – mais il en est un cousin pas très éloigné, de la même façon que le film de 1959 s’avère forcément à sa manière un peu cousin du Film Noir américain. Les clins d’yeux aux U.S.A. sont d’ailleurs assez explicites dans le film de Grangier, avec le personnage de Lino Ventura arborant une belle paire de Converse, le commissaire et sa cartouche de Chesterfield…
Test Blu-ray : Peau d’espion
Peau d’espion s’inscrit dans la mouvance de l'Euro Spy, tout en restant très « français » dans son déroulement et ses enjeux. Adapté d’un roman de Jacques Robert (l'écrivain européen le plus porté à l'écran), le film suit, malgré quelques digressions notables, une trame très premier degré, sans doute un poil trop sérieuse
Test Blu-ray : Le Monocle noir
En 1961 on a vu apparaître, aux côtés de James Bond, Coplan ou OSS 117, les premiers exploits cinématographiques du « Monocle », librement adaptés du roman du Colonel Rémy.