Accueil Tags Jacques Audiard

Tag: Jacques Audiard

Test Blu-ray : Mortelle randonnée

0
S’il est probablement le film que Claude Miller aimait le moins au sein de sa filmographie, Mortelle randonnée constitue un « lien » indispensable entre deux pans de son œuvre, un trait d’union réunissant au cœur d’un polar surréaliste d’une richesse incroyable une partie des acteurs qui peuplaient ses premiers films (Patrick Bouchitey, Michel Such), se mêlant à la « bande » créée autour de Garde à vue (Michel Audiard, Michel Serrault, Guy Marchand). C’est également le film qui a fait prendre conscience à Miller de la direction qu’il désirait réellement faire prendre à sa carrière – après les expérimentations formelles pratiquées sur ce film, on ne trouvera plus dans sa filmographie de traces de ce genre de photographie léchée et de plans composés avec un soin maniaque par le chef opérateur Pierre Lhomme pour flatter les pupilles du spectateur.

Programme télé du dimanche 29 mai

1
De Battre mon Cœur s'est arrêté Réalisé par Jacques AUDIARD  Avec Romain Duris, Niels Arestrup, Emmanuel Devos, Mélanie Laurent  Drame / France / 2005 / 1h47  20h50 sur...

Un remake de Un prophète par Sam Raimi ?

1
Le réalisateur de Evil Dead, Un Plan Simple et la trilogie Spider-Man serait en négociations avancées avec Sony et le producteur Neal Moritz pour...

Oscars 2016 : 5 films en lice pour représenter la France

0
Le 22 septembre prochain, nous saurons quel film et quel réalisateur représenteront la France lors de la prochaine cérémonie des Oscars dans la catégorie...

Festival de Cannes 2015 : France 3 – Italie 0

0
Après de longues années de diète, le cinéma français retrouve la forme avec une troisième Palme d'or en huit éditions pour Jacques Audiard avec...

Festival de Cannes 2015 : jour 8 – Dheepan, The Assassin

0
Bilan globalement négatif pour ce huitième jour de libations cannoises avec deux habitués de la compétition. On commence par le septième long-métrage de Jacques...

Cannes jour J moins un

0
Voilà on y est, la Croisette, les palmiers, le bleu de l'océan, le soleil, le cinéma qui durant onze jours (re)devient la plus belle...

Cannes 2015 : direction Quinzaine pour le nouveau Desplechin

2
Rien n'est immuable, rien n'est tout à fait différent. Le réalisateur Arnaud Desplechin s'est retrouvé dans la compétition officielle du Festival de Cannes à...

Cannes 2015 : la compétition (presque) complète

2
Seize longs-métrages pour l'instant ont été annoncés pour participer à la course à la Palme d'or. Deux à quatre autres films (dont peut-être un...
duo

Test DVD : Fréquence Meurtre

0
Jeanne Quester est heureuse. Médecin dans un service d'urgences psychiatrique, elle anime tous les soirs une émission de radio. Son divorce est réussi, son émission marche, sa fille l'adore. On ne pourrait imaginer que vingt-cinq ans plus tôt elle a vecu un drame horrible. C'est alors qu'il appelle en direct à la radio. C'est Faber, le fou criminel qu'elle a rencontré autrefois, qui lui demande: "Vous croyez qu'il est malsain de laisser des choses inachevées ?"

Joann Sfar ou la peur d’un cinéma français malade

0
Le réalisateur s'est exprimé sur la santé actuelle du cinéma français dans une lettre adressée à la ministre de la culture, Aurélie Filippetti. Que faut-il en retenir ?

De rouille et d’os : un goût de….. dissidence ?

2
Ali, la trentaine brute de décoffrage, sans travail et SDF, embarrassé de Sam, son fils de 5 ans qu’il connaît à peine et vient de récupérer auprès de sa génitrice droguée, part du Nord sans billet rejoindre une sœur caissière, Anna, qui habite Antibes avec son mari, chauffeur-livreur. Devenu videur, il reconduit une nuit chez elle une cliente éméchée et amochée, Stéphanie. La demoiselle, la trentaine aussi, est en couple et exerce la fonction prestigieuse de dresseuse d’orques au Marineland : un fossé sépare donc ces deux-là ! Mais Ali que rien n’arrête laisse son numéro de portable à la jeune femme. Cette audace s’avérera payante, car le destin qui va frapper cruellement Stéphanie la poussera, en perte totale de repères, à appeler Ali. Commence alors un crescendo « de rouille et d’os », pour le pire, puis le meilleur