Tag: Jack Palance
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Le Mépris
A film parfait, édition 4K parfaite : deuxième film de Jean-Luc Godard à sortir au format Blu-ray 4K Ultra HD, Le Mépris fête ses soixante ans en grande pompe
Test Blu-ray : El Mercenario
Franco Nero / Sergio Corbucci / Franco Solinas : telle est la sainte trinité ayant permis la flamboyante réussite d’El Mercenario. Ce trio en état de grâce a contribué à faire de ce western spaghetti une œuvre que l’on admire encore 55 ans après sa sortie...
Test Blu-ray : Flics en jeans
S’il surfe sur la notoriété du personnage de Franck Serpico, Flics en jeans ne ressemble en rien au film de Sidney Lumet : il s’agit en effet au contraire d’un film assez léger, très orienté humour et action – un mélange de poliziottesco « light » et de comédie.
Test Blu-ray : Terreur extraterrestre
Sorti en France à la fin de l’année 1980, Terreur extraterrestre avait par la suite bénéficié d’au moins deux éditions vidéo, l’une chez Hollywood Vidéo, l’autre chez Terror Home Video (Scherzo), dans la collection « Special Avoriaz ».
Test Blu-ray : L’or noir de l’Oklahoma
Prenant place au début du siècle dans les collines de l’Oklahoma, L'or noir de l'Oklahoma a l’apparence d’un western, l’odeur d’un western, mais il ne s’agit pas, à proprement parler du moins, d’un véritable western.
Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)
Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.
Les centenaires de l’an 2019
A qui le tour en 2019 de bénéficier d'un hommage aussi vaste que celui qui a été rendu à Ingmar Bergman au cours de l'année dernière, composé de pas moins de vingt-cinq films et deux documentaires pour célébrer le centenaire de la légende suédoise du cinéma ? Honnêtement, aucun mythe de l'envergure de Bergman ne figure sur notre liste, toujours aussi peu exhaustive et forcément subjective, des neuf hommes et de la femme qui ont marqué l'Histoire du cinéma, chacun à sa façon, et qui sont donc nés en 1919.
Test Blu-ray : Les collines de la terreur
Premier film d’une collaboration longue et fructueuse entre Michael Winner et Charles Bronson, Les collines de la terreur suit la traque d’un métis indien par un groupe de cowboys bien décidés à lui faire la peau. Bien sûr, rien ne se passera comme prévu...
Critique : Le Mépris
Dans l'absolu, un film parfait existe-t-il ? Pour en avoir vu sans doute des milliers au cours d'une passion cinéphile plus ou moins marquée au fil des ans, nous devons admettre qu'il n'y en a pas énormément, sous réserve des aléas toujours très subjectifs du goût personnel et de la réceptivité pour certains styles ou thématiques à tel ou tel moment de notre vie.
Test Blu-ray : Barabbas
Tourné en 1961, Barabbas constitue la contribution de Richard Fleischer au péplum, et plus particulièrement au péplum « religieux », réinterprétant quelques passages de la Bible, très en vogue à la fin des années 50. Le film de Fleischer s’inscrit donc dans la grande tradition de films tels que Les dix commandements (Cecil B. DeMille, 1956) ou encore Ben-Hur (William Wyler, 1959). S’il a probablement un peu moins marqué les mémoires que ses deux aînés, Barabbas n’en demeure pas moins un indispensable et époustouflant spectacle, ambitieux à la fois dans sa narration et dans sa mise en scène.
Festival de Cannes 2016 : tu l’aimes mon affiche officielle ?
Le Mépris est l'une des œuvres majeures de Jean-Luc Godard, l'un des plus grands bonheurs des cinéphiles, «une tragique histoire d'amour dans un cadre...
Critique : Le Masque arraché
La troisième édition du Festival International du Film restauré « Toute la mémoire du monde », actuellement en cours à la Cinémathèque Française, permet d’élargir la mission de cette auguste institution du cinéma sous toutes ses formes. D’abord en termes de public, puisque les salles sont remplies en semaine d’élèves adolescents, qui s’y rendent plus par devoir que par passion, et puis, surtout, parce que pendant quatre jours, nous pouvons y découvrir des trésors cachés du Septième art, à condition de ne pas être réfractaire aux restaurations numériques. Présenté dans le cadre d’un hommage à la Collection Cohen, Le Masque arraché est l’une de ces perles rares, qui nous invitent à explorer dans les meilleures conditions techniques une époque révolue du cinéma hollywoodien. Le mélodrame et le suspense y font bon ménage, sur fond de croisement de trajectoire de deux vedettes démesurées : Joan Crawford et Jack Palance.