Tag: Giorgio Moroder
Test Blu-ray : Electric Dreams / La Belle et l’Ordinateur
L’ordinateur est-il vraiment notre ami ? A cette question, La Belle et l'Ordinateur, qu’ESC Éditions ressort aujourd’hui au format Blu-ray sous son titre original Electric Dreams, semble répondre un grand “Non”.
Critique : La Féline (Paul Schrader)
La Féline, version Schrader, est bel et bien le fruit de son temps. Tandis que la prémisse passablement grotesque des humains plus qu'attirés par le règne animal pouvait encore faire illusion dans le cadre du film noir des années 1940 et donc paraître sensiblement plus suggestive chez Jacques Tourneur, ici, elle fournit le prétexte souvent bancal pour un mélange malgré tout pas complètement dépourvu d'intérêt d'érotisme et d'ésotérisme.
Festival Lumière 2017 : la sélection officielle
Paris est incontestablement la capitale française du cinéma. Nulle part ailleurs en France, les spectateurs peuvent bénéficier d'un si large choix de films, sorties récentes et œuvres du patrimoine, à un prix abordable et à presque chaque heure de la journée. Il existe cependant deux périodes par an, où cette hégémonie cinéphile s'effrite quelque peu : au mois de mai, lorsque les critiques se précipitent au Festival de Cannes et – dans une moindre mesure et principalement pour les férus de classiques d'époques révolues – en octobre, pour le Festival Lumière à Lyon.
Cannes 70 : de la scène à la musique de film
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Test Blu-ray : Daft Punk unchained
Réalisé par Hervé Martin-Delpierre, Daft Punk unchained contribue à prolonger le mythe créé par le duo, qui n'a toujours pas montré son visage depuis ses débuts : jamais on n'y verra les duettistes tomber le masque et se confesser face caméra. La parole sera laissée à leurs amis et proches collaborateurs, et quand ils doivent s'exprimer,
Critique : Top Gun 3D
Peu de films définissent autant l’état d’esprit et l’esthétique cinématographique des années 1980 que Top Gun. Sorti en plein milieu d’une décennie perçue depuis un point de vue rétrospectif comme creuse et ringarde, cette propagande nullement voilée pour l’armée américaine cumule les aspects excessifs de l’époque sans jamais les maîtriser.