Tag: Gérard Depardieu
Festival de Cannes 2017 : Pedro Almodovar président !
Pour la première fois de l'histoire du Festival de Cannes, le président du jury du Festival de Cannes sera espagnol. Né en 1949, Pedro...
Critique : Le Divan de Staline
Le camarade Joseph Staline exerce un étrange pouvoir de fascination sur le cinéma français. Il n’y figure certes pas avec la même régularité que les icônes populaires de la république, de Coluche à Dalida, en passant par Yves Saint Laurent et Claude François. Mais dans le domaine historique et politique, le despote russe a le don de nous interpeller curieusement à chacune de ses apparitions dans des productions loin de sa terre natale.
Critique : Tour de France
Deux cœurs battent au sein du deuxième film de Rachid Djaïdani. Cette opposition ouverte entre deux conceptions de la France, portées par des personnages hautement emblématiques, peut même être considérée comme la raison d’être principale de Tour de France. Ce qui ne veut pas dire qu’il s’agit d’un film platement polémique par son antagonisme primaire, qui jouerait un cliché contre l’autre, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien d’autre qu’une bouillie consensuelle.
Test DVD : À pleines dents – L’intégrale
La note d'intention d'À pleines dents ! était ambitieuse : il s'agissait de suivre les pérégrinations du chef Laurent Audiot et de Gérard Depardieu au cœur d'un périple gastronomique en Europe. Difficile d'imaginer l'acteur français, à la réputation d'ogre ingérable et colérique, se plier à l'exercice contraignant de la série TV. Le pari était risqué, voire même casse-gueule, et le résultat se révèle rapidement à la hauteur de nos attentes : au fil des 10 épisodes qui dorment l'intégrale des deux saisons aujourd'hui éditées par Wild Side, le spectateur découvrira une nouvelle facette de l'acteur le plus brut de décoffrage et le plus attachant de sa génération...
Critique : Potiche
Au cours d’une filmographie qui évolue et progresse au rythme d’un florilège de genres divers, François Ozon n’a sans doute jamais été plus frivole que dans Potiche. Les origines de l’histoire, issue du théâtre de boulevard pur et dur, y sont certainement pour quelque chose. La mise en scène sait néanmoins conférer à ce conte sur l’ascension d’une femme dans la France des années 1970 une élégance à la fois légère et stylisée.
Test Blu-ray : The end
Dernier film en date de Guillaume Nicloux, tourné en l'espace de quelques jours de disponibilité dans l'emploi du temps de Gérard Depardieu, The end est un film pour le moins étrange, qui demandera au spectateur un total « lâcher prise » s'il désire réellement apprécier le spectacle qui lui est montré. De l'aveu même du réalisateur, le scénario de The end est la retranscription d'un de ses rêves, et la construction narrative de l'ensemble ne manquera en effet pas de surprendre, voire même de déstabiliser. On passe assez brutalement d'une idée à une autre, d'un personnage à un autre, voire même d'une séquence à une autre : il convient de se laisser porter par l'ensemble sans chercher à tout prix à donner du sens.
Catherine Deneuve, Prix Lumière 2016
Du samedi 8 au dimanche 16 octobre 2016 se déroulera à Lyon et ses environs la huitième édition du Festival Lumière consacré au cinéma...
Cannes 2016 : Tour de France – Quinzaine
Tour de France
France, 2016
Titre original :
Réalisateur : Rachid Djaïdani
Scénario : Rachid Djaïdani
Acteurs : Gérard Depardieu, Sadek ...
Distribution : Le Pacte
Durée : 2h08
Genre : Comédie...
Test Blu-ray : Le cri du cormoran le soir au-dessus des...
Dans la riche carrière de Michel Audiard, il y a les grands films « sérieux » auxquels il a apporté sa touche inimitable et unique, et puis il y a les « fantaisies » potaches et surréalistes auxquels sa patte apporte une valeur ajoutée considérable.
Critique : The End
Moins d'un an après la présentation de Valley of love au Festival de Cannes, Guillaume Nicloux revient pour un film avec Gérard Depardieu dans le rôle principal. Une forêt française remplace la Vallée de la mort, Depardieu troque sa chemise et son short pour des habits de chasseur, que Samy Naceri (et son clip «seconde chance») ne renierait pas mais le cas de The End est un peu particulier.
Critique : Saint Amour
Il est 20h45, le 23 Février, et il est temps de partir de chez moi en direction du cinéma l’Utopia (de Bordeaux). Mon meilleur pote m’a offert une place pour aller voir l’avant-première de Saint Amour en présence des réalisateurs. Pour être tout à fait franc, j’avais lu dans le journal gratuit du matin que le nouveau film du duo déjanté de Groland passait en avant-première chez nous, et qu’il parlait de route des vins. Je n’avais aucune information complémentaire. C’est donc sans attente, sans prétention que je vais à cette projection. 1h40 plus tard, je suis épuisé et j’ai chaud. J’ai énormément ri. Et à gorge déployée, pas un simple sourire ou un petit pouffement habituel dans une salle de cinéma. La scène avec Michel Houellebecq, pour ne citer que celle-là, à déclencher une telle vague de rires dans la salle que les dialogues suivants ont été totalement couverts. Je ne pense pas avoir vécu une telle projection depuis Astérix et Obélix mission Cléopâtre. Maintenant venons-en à la critique à proprement parler...
César 2016 : les nominations
Les nominations aux César ont été annoncées ce matin par Alain Terzian, président de l’Académie française du cinéma, et Florence Foresti, maîtresse de la 41ème cérémonie qui se tiendra le vendredi 26 février au Théâtre du Châtelet.