Tag: Fiona Dourif
Test DVD : Chucky – Saison 1
On avait laissé Chucky à l’automne 2017 dans Le Retour de Chucky, qui s’était imposé comme un des opus les plus réjouissants de la franchise consacrée à la poupée Brav’Gars. Planquez les gamins, le revoilà...
#Halloween : Chucky, la série TV
On avait laissé Chucky à l’automne 2017 dans Le Retour de Chucky, qui s’était imposé comme un des opus les plus réjouissants de la franchise consacrée à la poupée Brav’Gars. Aujourd'hui, il revient... Attention, derrière vous !
Test Blu-ray : The purge – Saison 1
The purge est une série créée par James DeMonaco en 2018, faisant partie de la franchise cinématographique American nightmare, plus communément appelée, dans l’hexagone autant qu’ailleurs, « La purge » ou « The purge ». Le concept à succès de cette série de films est simple : elle met en scène un univers dystopique au cœur duquel, dans un avenir proche, les Etats-Unis, gouvernés par le parti des Nouveaux Pères Fondateurs, maintiennent un faible taux de chômage et de criminalité grâce à la mise en place de la « Purge », période annuelle de douze heures au cours desquelles toute activité criminelle est permise, et même encouragée. Chacun peut donc évacuer ses émotions négatives en tuant ou en s'adonnant à la violence gratuite en toute impunité.
Test Blu-ray : Le retour de Chucky
En 2013, Don Mancini avait pris les fans de la franchise « Jeu d’enfant / Chucky » à revers avec La malédiction de Chucky, qui débarquait presque 10 ans après le dernier film de la saga et opérait surtout un retour au « sérieux » après deux épisodes placés sous le signe de l’humour noir et de la franche gaudriole. De façon très étonnante en effet, les hilarants La fiancée de Chucky (1998) et Le fils de Chucky (2004), que beaucoup considèrent pourtant comme étant, de loin, les meilleurs opus d’une série pas franchement folichonne, se voient gratifiés sur le site de référence IMDb des notes les plus basses de la saga : 5,4 pour le chef d’œuvre de Ronny Yu, et 4,9 pour le délire cartoonesque et second degré du film de 2004. La malédiction de Chucky avait donc été « recentré » sur l’horreur par son créateur ; de fait, s’il avait déçu beaucoup de fans des deux films précédents, sa note globale était sensiblement remontée, ce qui a du conforter Don Mancini dans l’idée que ce « reboot » déguisé était la voie à suivre pour relancer de façon durable son personnage.