Accueil Tags Festival de Cannes

Tag: Festival de Cannes

Cannes 70 : les Palmes d’or, bonheurs et malheurs du box-office

0
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Cannes 70 : All the love you Cannes, Troma sur la...

0
Tourné lors de l’édition 2001 du Festival de Cannes, le film All the love you Cannes ! (écrit et réalisé par Gabriel Friedman, Lloyd Kaufman et Sean McGrath) était, à l’origine, un projet de documentaire sur la façon dont les équipes de Troma Entertainment assurent la promotion, la vente et l’achat de longs-métrages sur le Marché du Film, salon professionnel qui se tient en parallèle du Festival de Cannes

Cannes 70 : caméra d’or, l’avoir… ou pas

0
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Livre : Au travail avec Jean Eustache

0
Jean Eustache occupe une place à part au sein du cinéma français. Auréolé d’un statut légendaire depuis la projection de son film monstre, La Maman et la Putain, au festival de Cannes 1973, l’œuvre d’Eustache est restée confidentielle pour d’obscures raisons de droit limitant ainsi la diffusion de ses films parmi la communauté de spectateurs.

Cannes 70 : 1946, la 1e édition à travers les critiques...

0
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

La Cinémathèque Française au printemps 2017

0
C'est déjà le printemps à la Cinémathèque Française et c'est surtout la fête, puisque la 5ème édition de Toute la mémoire du monde, le festival international du film restauré, s'y déroule depuis hier et hors les murs, à la Fondation Jérôme Seydoux, à l'Action Christine, à la Filmothèque du Quartier latin et au Méliès de Montreuil.

Critique : Amour (Karoly Makk)

0
Tout comme le film au titre éponyme de Michael Haneke, Amour de Karoly Makk a été primé au festival de Cannes, recevant un prix du jury présidé par la regrettée Michèle Morgan, disparue à la veille de cette reprise. Les deux films mettent ont en commun de mettre en scène une femme au bord de la mort, mais le parallèle s'arrête là...

Critique : American Honey

0
No future. C’est ce qui semble tendre les bras à Star, adolescente s’occupant de deux enfants qui ne sont pas les siens, au sein d’une famille quelque peu dysfonctionnelle, à la recherche d’un emploi. C’est pour ça qu’elle n’hésite pas bien longtemps lorsque l’occasion de fuir cette vie sans perspectives d’avenir se fait sous les traits de Jake (interprété par un très bon Shia LaBeouf). Elle part donc sur la route, avec une bande de marginaux, vivant de la vente de journaux en démarchant des particuliers. Rêvant d’un rêve Américain à priori inaccessible, elle va faire un bout de chemin rythmé par une histoire d’amour impossible et des soirées alcoolisées, tentant de se faire une place dans un petit groupe dirigé par Krystal (Riley Keough), avec qui le courant aura bien du mal à passer…

Critique : Personal Shopper

0
Après Sils Maria sélectionné à Cannes, récompensé du Prix Louis-Delluc puis nommé à six reprises aux Césars, Olivier Assayas revenait en mai dernier en compétition officielle au Festival de Cannes avec ce nouveau film Personal Shopper où il dirige à nouveau Kristen Stewart déjà au casting de ce précédent opus, qui lui a permis de remporter le César de la meilleure actrice dans un second rôle. Le début d’une longue collaboration entre Olivier Assayas et Kristen Stewart ?

British Independent Film Awards 2016 : le palmarès

0
Découvert en compétition lors de la dernière édition du Festival de Cannes, American Honey avait permis à Andrea Arnold de remporter une troisième fois...

Critique : Swagger

0
C’est une parenthèse enchantée. Un instant rare à partager avec des jeunes vivant dans des banlieues défavorisées d’Aulnay-sous-Bois ou de Sevran, qui aurait pu, chez tant d’autres cinéastes même reconnus, tomber dans la fiction moraliste pointant d’un doigt accusateur chaque spectateur ayant pourtant fait la démarche d’aller voir le film. Mais ce cinéma comme on en a trop souvent subi, Olivier Babinet n’en est visiblement pas un adepte non plus. Son truc à lui, c’est plutôt le métissage des genres, investissant le documentaire pour, au final, faire autre chose. Car si le film présente de vrais enfants ou adolescents, leur vraie vie, et leurs vraies interrogations, c’est pour passer au coloriage pop ce qui n’aurait pu être qu’un énième reportage misérabiliste pour nous montrer à quel point la vie dans les cités est dure, avec ses trafiquants, sa violence et son absence de perspectives d’avenir.

Prix Louis-Delluc 2016 : les finalistes

0
La liste des finalistes, au nombre de sept, en lice pour le prestigieux Prix qui récompense le meilleur film français de l'année a été...