Tag: Ethan Hawke
Test Blu-ray : Valérian et la cité des mille planètes
La critique a généralement la dent dure avec Luc Besson, et l’échec cuisant de Valérian et la cité des mille planètes au box-office américain (40 millions de recettes pour un budget de presque 200) en a réjoui plus d’un, provoquant un véritable déferlement anti-Besson sur les réseaux sociaux, tout le monde y allant de son petit bashing à l’encontre du réalisateur du Grand bleu et de ses choix de carrière douteux, le cinéaste apparaissant pour beaucoup d’avantage comme un businessman éclairé que comme un véritable « artiste ». Cela dit, on n’a plus entendu personne souligner depuis que ce même Valérian, avec plus de quatre millions d’entrées en France, s’était placé sur la troisième place du podium des plus gros succès en salles pour cette année 2017, et qu’avec 225 millions de dollars de recettes mondiales, le film est finalement parvenu à rentrer dans ses frais, avant même l’exploitation du film en vidéo.
Test DVD : In a valley of violence
Découvert en France il y a quelques années avec la sortie en DVD de The roost, époustouflant petit film de vampires indépendant, Ti West est par la suite devenu l’une des têtes de file d’une nouvelle vague de cinéastes horrifiques US, dont les films sont très suivis par une poignée d’aficionados du genre. Aux côtés de ses confrères Jim Mickle et Rob Zombie, Ti West a en effet en l’espace de quelques années signé une poignée de films d’horreur underground ayant fait forte impression dans de nombreux festivals à travers le monde : Cabin fever 2, House of the devil, The innkeepers… Auxquels on peut ajouter des participations aux anthologies The ABCs of Death et V/H/S. Depuis The sacrament en 2013 (toujours inédit chez nous), le cinéaste n’était cependant parvenu à retrouver le chemin des studios qu’à travers la réalisation de quelques épisodes de séries TV ; c’est donc avec une impatience certaine que l’on a accueilli la nouvelle de la sortie en Blu-ray et DVD de In a valley of violence, son dernier film en date et sa première incursion dans le genre western…
Critique : Born to be blue
Miles Davis et Chet Baker : deux véritables légendes du jazz, deux trompettistes qui ont disparu il y a près de trente ans. Et deux films leur étant consacré sont sortis chez nous en janvier, près d'un an après leur distribution aux Etats-Unis. En effet, il y a deux semaines sortait en France, dans une totale indifférence, et directement en vidéo à la demande, Miles Ahead, biopic de Don Cheadle consacré à Miles Davis. Et mi-janvier est sorti dans une relative indifférence aussi, mais au moins sur quelques écrans de cinéma, Born to be blue, un film consacré à Chet Baker. Ainsi les musiciens, de jazz qui plus est, semblent être moins populaires sur grand écran que des figures politiques : Neruda a connu un beau succès, aussi bien critique que public, et Jackie (aussi de Pablo Larrain) semble partir sur les mêmes rails. Mais ici nous n'allons parler ni de Miles, ni de Pablo, ni de Jackie, mais de l'unique Chet ...
Test DVD : Les 7 mercenaires
Remake du classique de John Sturges de 1960, Les 7 mercenaires, réalisé par Antoine Fuqua à qui l’on doit le récent Equalizer, réunit un casting impressionnant composé de Denzel Washington (Man on fire), Chris Pratt (Jurassic world), Ethan Hawke (American Nnghtmare) et Vincent D’Onofrio (le Kingpin de la série Daredevil). Reprenant le synopsis du classique porté, entre autres, par Yul Brynner et Steve McQueen, Antoine Fuqua dépoussière le mythe et offre un remake plaisant et efficace. (…)
Critique : Les 7 Mercenaires (Fuqua)
Remake du classique de John Sturges de 1960 (déjà adapté d'un autre classique, Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa), cette nouvelle version des 7 Mercenaires, réalisé par Antoine Fuqua à qui l’on doit le récent Equalizer, réunit un casting impressionnant composé de Denzel Washington (Man on Fire), Chris Pratt (Jurassic World), Ethan Hawke (American Nightmare) et Vincent D’Onofrio (le Kingpin de la série Daredevil). Reprenant le synopsis du classique porté, entre autres, par Yul Brynner et Steve McQueen, Antoine Fuqua dépoussière le mythe et offre un remake plutôt plaisant et efficace.
Festival de San Sebastian 2016 : Coquille d’or pour Feng Xiaogang
La 64ème édition du Festival de San Sebastian qui s'est déroulé du 16 au 24 septembre a annoncé son palmarès ce samedi 24 septembre. Le Coquillage d'or du meilleur film a été remis à Je ne suis pas Madame Bovary du chinois Feng Xiaogang
Test DVD : Maggie a un plan
Maggie, une jeune femme chez qui l'action découle directement de la pensée, une jeune femme qui a l'obsession du contrôle et dont on peut espérer, sans trop y croire, qu'un jour, à force de rencontrer des échecs, elle aura appris qu'on "n'organise pas sa vie et celle des autres comme on trie un tiroir de chaussettes" et, qu'au contraire, il est parfois (souvent ?) souhaitable de laisser les choses venir d'elles même.
Retour sur la saga American Nightmare
Alors que le troisième opus, sorti cet été, a terminé sa carrière dans les salles, penchons nous sur la saga American Nightmare de James...
Test Blu-ray : Regression
Avec Regression, Alejandro Amenábar poursuit sa réflexion sur la notion de vision et de regard (et par ricochet sur la mise en scène, avec une réflexion forte sur ce qui est montré ou caché) qu’il avait déjà abordée avec ses premiers films Tesis et Ouvre les yeux. A travers une mise en scène maitrisée, flirtant le plus souvent avec le genre horrifique,
Berlinale 2016 : Maggie a un plan
Greta Gerwig, la nouvelle coqueluche de New York, a plus d’une corde à son arc. Alors qu’on l’adorait déjà en tant que héroïne désordonnée de l’univers de Noah Baumbach, elle s’essaye à une variation plus compétente du même type de personnage dans Maggie a un plan. Ce film confirme donc le talent pétillant de l’actrice principale et nous gratifie de surcroît de la bonne surprise que Rebecca Miller sait faire autre chose que des drames.
Les films à la télé ce jeudi 17 décembre 2015
Ce soir à la télévision un large choix de programmes cinématographiques. Des films de toutes les époques et de tous les genres. Petit tour...
Test DVD : Good Kill
Quand vous entendez à la radio que tel chef d'une mouvance djihadiste a été abattu par un drone, êtes vous capable de reconstituer tout le processus qui s'est déroulé pour arriver à ce résultat ? Avez vous réfléchi aux problèmes moraux qui se posent concernant cette guerre faite à distance, sans danger physique pour celles et ceux qui la mettent en pratique ? Ne serait-ce que parce qu'il est basé sur des faits réels et qu'il nous confronte à la face noire de cette guerre d'un nouveau type, "Good Kill" est un film important.