Tag: Eran Riklis
Test DVD : Le dossier Mona Lina
Une histoire qui permet à Eran Riklis de traiter à nouveau un thème qui lui est cher, celui des frontières, quelles qu'elles soient.
L’actualité des festivals (15 mars)
Suite (mais pas fin, loin de là) de notre tour d'horizon des festivals du mois de mars… Depuis le lundi 12 mars et jusqu'au...
Nouveaux membres de l’Académie : la promotion 2017
L'actuelle présidente de l'Académie du cinéma américain, Cheryl Boone Isaacs, devra passer la main cet été à son successeur, puisque elle aura atteint le nombre maximal de quatre mandats annuels autorisés. Sa présidence se sera surtout distinguée par une ouverture sans précédent de la vénérable institution hollywoodienne, qui existe depuis 90 ans, à plus de diversité parmi ses membres. La preuve ultime en a été annoncée hier avec la liste des 774 nouveaux membres, originaires de 57 pays, qui peuvent – s'ils le souhaitent – rejoindre les près de 7000 autres membres de l'Académie.
Festival de Vesoul 2016 : le palmarès
Du 3 au 10 février 2016, le Festival International des Cinéastes d’Asie (FICA) s’est déroulé à Vesoul, en région Bourgogne Franche-Comté. Ce rendez-vous a...
Test DVD : La Belle promise
A mi chemin entre Tchekhov et Buñuel, "La Belle promise" permet à Suha Arraf de faire une entrée remarquée dans la famille des réalisateurs.
Critique : La belle promise
Nous connaissions Suha Arraf par son travail de scénariste auprès d'Eran Riklis dans "La fiancée syrienne" et "Les citronniers". Dorénavant, il faudra compter avec Suha Arraf en tant que réalisatrice, "La belle promise", son premier long métrage de fiction, étant, en la matière, ... une belle promesse.
Test DVD : Mon fils
Avec "Mon fils", Eran Riklis réussit à montrer de façon limpide la ségrégation qui existe en Israël entre juifs et arabes sans pour autant nous infliger un pamphlet manichéen.
Playoff
1982. Entraîneur de basket israélien d'origine allemande, Max Stoller s'est imposé comme une véritable légende dans son pays. Toujours en quête de nouveaux défis, il accepte de prendre en charge l'équipe nationale d'Allemagne de l'Ouest pour l'amener au championnat du monde. Or, Max doit non seulement entraîner des joueurs démotivés, mais il lui faut aussi faire face aux attaques de la presse israélienne qui le considère comme un traitre. Ce qui ne l'empêche pas de poursuivre sa mission, sans doute parce qu'il est venu là pour autre chose: repartir sur les traces de son enfance brisée par la guerre, un jour de 1943.