Tag: Eli Roth
Test Blu-ray : Thanksgiving – La Semaine de l’horreur
Les origines du projet Thanksgiving : La Semaine de l'horreur remontent au double programme Grindhouse en 2007. À l’époque, Eli Roth avait été « invité à signer une fausse bande-annonce de film d'exploitation...
À (re)voir en VOD : L’homme aux poings de fer
Tourner une bande d'exploitation à la mode Hong-Kongaise, avec des équipes techniques locales, sans ironie outrancière ni clins d'yeux incessants, tel était à l'origine le projet de RZA avec L'homme aux poings de fer.
30 films inédits en salles à redécouvrir pendant le #confinement
Alors que l'on en a encore au minimum pour trois semaines de confinement, la devise est plus que jamais claire : #RestezChezVous – détendez-vous, faites l'amour, lisez, regardez des films. Pour ce qui nous concerne, regardez des films et lisez-nous, surtout. Depuis plus d'un mois maintenant, les cinémas sont fermés en France, alors c'est cinéma à la maison pour tout le monde.
Test Blu-ray : La prophétie de l’horloge
Après une longue série de projets tournés vers différentes facettes de l'horreur et du cinéma d'exploitation, Eli Roth a surpris tout le monde en prenant à bras le corps l'année dernière l'adaptation de « La pendule d'Halloween », premier roman de la série « Kévin et les magiciens » de John Bellairs, série de romans destinés à la jeunesse mettant en scène le jeune apprenti magicien Lewis Barnavelt, devenu Kévin Barnavelt dans les traductions françaises. Encore relativement peu connu en France, la série a été entamée par son auteur en 1973 : on pourra dès lors aisément comprendre que par certains aspects, le récit initiatique adapté par Eli Roth et son coscénariste Eric Kripke – sous le titre La prophétie de l'horloge – puisse, peut-être, un peu manquer d'originalité. En effet, les univers créés par John Bellairs, décédé en 1991, ont depuis assez largement été pillés par des auteurs tels que R.L. Stine (Chair de poule), Lemony Snicket (Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire) ou même J.K. Rowling (Harry Potter), ce qui pourrait malheureusement un peu amoindrir l'impact de cet univers foisonnant, baroque et ô combien attachant.
Test Blu-ray : Clown
La petite histoire autour de Clown est intéressante : tout remonte à l'automne 2010, quand Jon Watts met en ligne sur Youtube la fausse bande-annonce d'un film d’horreur intitulé Clown. Sa démarche s'inscrit dans la lignée des « Grindhouse faux trailer contests » organisés autour de la sortie de Grindhouse en 2007 ; en introduction du court-métrage, on peut lire « Par le maître de l’horreur Eli Roth ». Il n'en faudra pas plus pour enflammer le Web, et la vidéo atteint rapidement plus d'un million de vues. Interloqué par le public qui l’interpelle pour le féliciter de ce nouveau trailer, Eli Roth finira par s'intéresser à cette fameuse bande-annonce ; enthousiasmé par le projet, il contactera John Watts afin de lui proposer de produire le « vrai » long-métrage... Un conte de fées d'Halloween en quelque sorte, confirmant l'intérêt d'Eli Roth pour la créativité artistique.
Test Blu-ray : Knock knock
« Toc Toc Toc, qui est là ? C’est les p’tites salopes, Toc Toc Toc, qui est là ? C’est les p’tites salopes… » oui, ceux qui auront reconnu Henri Dès dans cette introduction outrageusement vulgaire seront choqués de voir ainsi dénaturer l’un de ses plus grands tubes, La Petite Charlotte, (…) même si la version live filmée dans les années 90 est un grand moment de hurlements d’enfants de quatre ans à faire rougir les fans hardcore de treize ans de One Direction.
Test Blu-ray : The green inferno
Cousin éloigné du Dernier monde cannibale, Cannibal Holocaust ou encore Amazonia – L’esclave blanche qui dénonçaient quant à eux les dérives d’un certain journalisme ou d’une certaine caste de bourgeois, The green inferno permet à Eli Roth de ressusciter un genre disparu depuis quelques années en le faisant « à l’ancienne », c'est-à-dire en se plongeant en conditions réelles dans un tournage en Amazonie péruvienne, au cœur même d’une jungle forcément hostile et inhospitalière.
Critique : The Green Inferno
Eli Roth n’est pas Quentin Tarantino, mais il connaît néanmoins bien les classiques du film de genre. Il nous en livre la preuve par le biais de cet hommage aux festins cinématographiques de cannibales, particulièrement féroces et populaires en Italie dans les années 1970 et ’80.
FEFFS 2015 jour 1 : L’Enfer vert et Joe Dante
Vendredi 18 septembre et un peu samedi 19 aussi...
Toc Toc Toc qui est là c'est les p'tites salopes, Toc Toc Toc qui est là...
Critique : Knock Knock
«Je suis venu vous faire chier». Tels étaient les premiers mots (écrits par Bertrand Blier) prononcés par Michel Bouquet dans Les Côtelettes lorsqu'il sonne à la porte d'un monsieur qui n'en demandait pas tant (Philippe Noiret). Eli Roth aurait pu reprendre à son compte ses paroles et les planter dans les bouches pulpeuses des deux jeunes femmes qui débarquent pour troubler Keanu Reeves ce soir-là. Car si elles ne prétendent que vouloir se protéger de la pluie en attendant de retrouver leur chemin vers une fête où elles affirment être attendues, leurs mauvaises intentions se soupçonnent très vite...
Green Inferno finalement présenté à Paris
Les spectateurs parisiens qui se lamentaient de ne pas pouvoir découvrir The Green Inferno de Eli Roth sur grand écran peuvent se réjouir. Dans...
Test Blu-ray : L’homme aux poings de fer 2
Roel Reiné a un parcours de cinéaste vraiment atypique. Après avoir oeuvré aux Pays-Bas en tant que réalisateur de TV pendant presque 15 ans, le bonhomme s'expatrie et signe à son arrivée aux États-Unis en 2009 le très intéressant Primal, resucée de Predator plutôt bien foutue et techniquement assez bluffante. Depuis, le lascar s'est fait une renommée en signant de nombreuses suites pour le marché du « direct to video » d'action, tendance bourrin : The marine 2, Death race 2 et 3, 12 rounds 2, Le roi scorpion 3, En territoire ennemi 4...