Tag: Didier Kaminka
Test Blu-ray : Les Rois du gag
Rien ne semblait prédestiner Les Rois du gag à retomber dans les limbes de la mémoire collective. À sa sortie sur les écrans français en 1985, avait attiré 1,5 millions de spectateurs dans les salles...
Test Blu-ray : Je sais rien mais je dirai tout
Avec Je sais rien mais je dirai tout, Pierre Richard se pose en anarchiste poétique, gentiment contestataire : on sent en effet que derrière le cynisme de façade se cachent des aspirations et des rêves utopiques concernant la société de demain.
Test Blu-ray : Association de malfaiteurs
A sa sortie en 1987, Association de malfaiteurs avait réuni 1,2 millions de français dans les salles – pourtant, 35 ans plus tard, cette comédie policière ne bénéficie pas de l’aura des « grandes » comédies populaires de Claude Zidi...
Test Blu-ray : Ripoux 3
Profitant du retour des deux premiers films dans son catalogue, Gaumont nous permet donc aujourd’hui de redécouvrir Ripoux 3, l'opus mal aimé de la saga, que l’on considère pourtant comme bien supérieur à Ripoux contre Ripoux.
Test Blu-ray : Ripoux contre Ripoux
Ripoux contre Ripoux ne reprend pas tout à fait là où l’on s’était arrêté – comme un enfant en train de jouer au gendarme et au voleur, Claude Zidi adresse un clin d’œil au spectateur : on « disait que » les deux personnages du film n’avaient pas quitté la police.
Test Blu-ray : Les Ripoux
Au-delà de la jolie galerie de portraits mettant en scène des personnages tous aussi tristes et solitaires les uns que les autres, Les Ripoux parvient tout de même à soulever quelques questions concernant le système.
Test Blu-ray : Les sous-doués en vacances
Les sous-doués en vacances fait partie de ces petits plaisirs complètement désuets qui essaient, le plus souvent en vain, de vous faire rire, mais qui font preuve d’une telle énergie pour brasser du vide qu’elles en deviennent immédiatement attachantes. Développant avec plus ou moins d'inspiration un scénario-prétexte propre à enchaîner les gags plus ou moins stupides / plus ou moins efficaces
Test Blu-ray : Les sous-doués
Avec environ 265.452 rediffusions TV en l’espace de quarante ans, Les sous-doués fait partie de la catégorie des comédies franchouillardes extrêmement populaires, et dont le succès ne s’est jamais démenti avec les années. S’il avait réuni 4 millions de français dans les salles en 1980, le film de Claude Zidi avait en effet déjà été vu, selon Médiamétrie, par 13,46 millions de français dix ans plus tard. Puisqu’il engrange un nouveau nombre d’adeptes à chacune de ses diffusions télé, on peut supposer qu’en 2020, Les sous-doués a probablement largement dépassé la barre des 20 millions. Ce qui voudrait dire que 30% des français ont déjà vu le film de Zidi. Et à ceux qui se poseraient la question de l’utilité de ressortir aujourd’hui le film en Blu-ray, on répondra que Gaumont peut donc tabler sur une partie de ces 30%, ainsi que, potentiellement, sur les 70% de français qui ne l’auraient encore jamais vu. Ça laisse de la marge, d’autant que l’éditeur joue ici sur la nostalgie autant que sur le fait qu’il s’agit d’un film qui amusera autant – voire plus – les enfants que les adultes.
Test DVD : À quoi tu penses-tu ?
Comme son titre peut le laisser deviner, À quoi tu penses-tu ? est un film « gigogne », s’amusant à renvoyer un miroir vers le spectateur dans une mise en abyme aussi ambitieuse que franchement inattendue au cœur d’un film français. Film dans le film dans le film, suivant les errances rêveuses d’un héros schizophrène au cœur d’un univers l’étant tout autant, le film de Didier Kaminka apparaît, avec le recul, comme à la fois très ambitieux et très en avance sur son temps. A l’image de son affiche, surréaliste, rappelant une toile de Dali (en fait, il s'agissait de la réinterprétation d'une toile célèbre de Dominique Appia), À quoi tu penses-tu ? ne cesse de surprendre, part dans tous les sens, et s’avère véritablement unique.
Test Blu-ray : Banzaï
Trois ans après Inspecteur la bavure, Claude Zidi retrouve son ami Coluche à l'occasion de Banzaï, et décide de lui offrir un rôle aux antipodes de celui du film de 1980...