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Test Blu-ray : Brisby et le secret de NIMH

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Il est difficile de ne pas lier la production de Brisby et le secret de NIMH à la carrière de son scénariste / réalisateur Don Bluth. Ayant commencé à travailler pour les studios Disney dans les années 50, il a collaboré en tant qu’animateur sur des films tels que Robin des Bois...

Bande-annonce : Paul Mescal affronte Pedro Pascal dans « Gladiator II »

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Les jeux sont ouverts ! Pas encore ceux – olympiques – de Paris, pour lesquels il faudra s'armer de patience pendant un peu plus de deux semaines supplémentaires. Et pas non plus tout à fait l'affrontement musclé de la suite de Gladiator de Ridley Scott, qui débarquera sur les écrans de cinéma français dans quatre mois, le 13 novembre prochain.

Test DVD : Tomb raider

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Les adaptations de jeux-vidéo au cinéma posent souvent la question de leur pertinence, de leur bien-fondé, entre deux arts qui ont en commun de reposer sur une image en mouvement. Les cinématiques (parties non jouées) des jeux forment de véritables intermèdes filmiques, et les jeux entiers eux-mêmes ont parfois pour ambition d’être « cinématographiques », comme si cela leur permettait d’accéder à un statut plus noble. Mais là où l’un utilise le montage pour raconter une histoire, forçant le spectateur à épouser le point de vue du réalisateur, l’autre repose sur l’interactivité entre le joueur, qui n’est plus simple spectateur, et l’environnement qui lui est présenté. Dans ce cas, quel intérêt d’adapter sur un grand écran un jeu sorti il y a moins de cinq ans (Tomb raider, de Crystal Dynamics, 2013) si c’est pour en rendre une copie quasi identique ?

Test Blu-ray : Le crime de l’Orient-Express

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Avec l’un des romans les plus connus d’Agatha Christie, Kenneth Branagh se retrouve devant et derrière la caméra, offrant au célèbre Hercule Poirot une incarnation très personnelle, dénuée de tout académisme. (...) Le prologue du Crime de l'Orient Express donne déjà une idée claire de la personnalité du nouveau Poirot, fidèle à ce que l’on en connaît mais plus complexe. Cette ouverture enjouée et précise souligne son tempérament quasi-maniaque, son esprit de déduction inégalé mais aussi ses nouvelles bacchantes, assez magistrales. Il est dépeint comme un être bienveillant qui voit le monde tel qu’il devrait être et en repère les imperfections pour les corriger. Son code moral est rigide, il désapprouve le meurtre sous toutes ses formes et ne tolère aucune exception. Farouchement attaché à la notion de bien et de mal, il devra pourtant revoir ses certitudes. Le récit s’ancre d’ailleurs plus sur la psychologie de Poirot et de ses proies que sur la résolution d’un assassinat. Ici, il est un homme avant tout porté par une forme de mélancolie sourde devant faire face au plus grand dilemme de sa carrière.