Tag: Christopher Walken
Test Blu-ray : Les Chiens de guerre
Les Chiens de guerre s'inscrit dans la catégorie du « film de mercenaires », sous-genre du film de guerre s'attachant finalement moins au contexte (conflit) qu'à ses personnages, aux personnalités souvent ambivalentes.
Test Blu-ray : The King of New York
The King of New York, c'est la pierre angulaire du polar contemporain - le vestige lointain d'une époque où Abel Ferrara réussissait à maîtriser son cinéma, une pépite sombre habitée par une série d'acteurs au top de leur forme et de leur charisme.
Test DVD : Amours irlandaises
Véritable déclaration d'amour à l'Irlande, Amours irlandaises a énormément été dénigré par la presse anglophone, et en particulier irlandaise – en partie à cause du portrait peu réaliste qu'il dresse du pays, en partie en raison de l'accent grotesque que prennent les acteurs...
Test Blu-ray : The addiction
Jamais tout à fait là où on l’attend, Abel Ferrara a pris, avec The addiction, le contre-pied absolu du film fantastique de bourrin que certains attendaient de lui.
Test DVD : Mon grand-père et moi
Après Mon beau-père et moi, Mon beau-père, mes parents et moi et Mon beau-père et nous, Universal Pictures France tente de faire du nouveau film de Tim Hill, rebaptisé Mon grand-père et moi à son arrivée chez nous, le quatrième long-métrage de la franchise.
Test Blu-ray : Sleepy Hollow – La légende du cavalier sans...
Sleepy Hollow – La légende du cavalier sans tête développe en effet une atmosphère bien connue des amateurs de fantastique : c’est celle qui baignait la plupart des productions Hammer Films dans les années 50/60, c’est celle des productions Roger Corman adaptées d’Edgar Allan Poe, ou celle bien sûr du film mythique de l’épouvante gothique : Le masque du démon de Mario Bava.
Test Blu-ray : La Sentinelle des maudits
Unique film d’horreur de la carrière de Michael Winner, La Sentinelle des maudits est sorti sur les écrans en 1977, c’est-à-dire en pleine période faste pour le cinéma fantastique « de studio ».
Test Blu-ray : Comme un chien enragé
Un peu plus de trente ans après sa sortie dans les salles françaises, la redécouverte de Comme un chien enragé provoquera à coup sûr une interrogation dans l’esprit du spectateur contemporain : mais qu’est-il donc arrivé à James Foley ?
Oscars 2018 : les présentateurs
Dans moins de deux heures aura lieu la 90ème cérémonie des Oscars au Dolby Theatre de Hollywood ! Le présentateur de télé Jimmy Kimmel y officiera pour la deuxième fois consécutive en tant que maître de cérémonie, après avoir déjà occupé ce poste lors de la dernière cérémonie, qui s'était soldée, vous vous en souvenez sans doute, par une erreur d'annonce historique lors du dernier prix de la soirée.
Test Blu-ray : Le gang Anderson
Ce qui frappe sans doute le plus aujourd’hui, à la découverte du Gang Anderson de Sidney Lumet, n’est pas tant l’aspect ouvertement orienté « divertissement » de ce film de casse, mais plutôt cette obsession développée par Lumet tout au long du métrage autour de la notion de « surveillance ». Une paranoïa justifiée par l’affaire du Watergate, contemporaine de la mise en chantier du film, et prenant une ampleur toute particulière dans Le gang Anderson, poussant le flicage de ses personnages par tout un dispositif de surveillance digne du 1984 d’Orwell, et présentant les Etats-Unis des années 70 comme un état policier où l’intimité n’a même plus sa place.
Test Blu-ray : Nos funérailles
Les carrières d'Abel Ferrara et de son scénariste « historique » Nicholas St. John sont indissociables l'une de l'autre. Après avoir débuté ensemble sur le porno Nine lives of a wet pussy (1974), et en dix films tournés ensemble, ils ont évolué de façon parallèle, « grandi » artistiquement au fil d'une carrière jalonnée d'une belle poignée de films assez monumentaux (L'ange de la vengeance, New York deux heures du matin, King of New York, Body snatchers...). L'apogée de leur travail commun se situe en 1996 : les deux lascars livreront en effet au spectateur le film de la « maturité » avec le sublime Nos funérailles, tragédie quasi-Shakespearienne tirant un trait (définitif ?) sur 25 ans de collaborations exclusives entre les deux hommes.
Critique : Eddie The Eagle
1988, la ville de Calgary (Canada) est en pleine effervescence parce qu’elle se prépare à accueillir les quinzième Jeux Olympiques d’hiver. Des athlètes du monde entier débarquent pour partager leur passion et participer à l’évènement le plus emblématique du milieu sportif. Les entrainements sont lancés, les supporters sont gonflés à bloc pour encourager leurs équipes.