Tag: Catherine Hicks
Test Blu-ray : Peggy Sue s’est mariée
L’intrigue de Peggy Sue s’est mariée suit son héroïne (Kathleen Turner, parfaite) renvoyée de 1985 jusqu’en 1960 suite à un évanouissement survenu lors d’une réunion d’anciens élèves.
Test Blu-ray : La vallée de la mort
Thriller mineur du début des années 80, La vallée de la mort ne passionnera probablement guère les amateurs de slashers 80’s et autres adeptes du « grand frisson » cinématographique : trop timoré en matière de gore et de séquences choc, le film de Dick Richards souffre qui plus est d’un scénario un peu trop malingre et linéaire pour s’avérer convaincant. De fait, les rebondissements sont tellement prévisibles – et finalement peu nombreux – que pour tenter de gonfler un peu la durée du métrage (déjà très courte), le réalisateur multiplie les plans longs et inutiles sur des éléments non narratifs qui plombent complètement le rythme du film : panoramas, trajets en voiture, des personnages en train de manger ou se déplaçant dans des couloirs… Probablement conscient du côté mou du genou de son film, Richards a donc par la suite fait le choix d’essayer de dynamiser le tout par l’usage de la musique. Et si le score de Dana Kaproff est – c’est le moins que l’on puisse dire – vraiment mis à l’honneur dans de trèèèèèès nombreuses séquences de La vallée de la mort, il sera difficile pour le spectateur de ne pas trouver la répétition de ces accords aussi dissonants que franchement stridents par moments vraiment horripilants, surtout quand ils apparaissent pour souligner des séquences sur lesquelles il ne se passe rien.
Test Blu-ray : Chucky – Jeu d’enfant
Le succès d’un film au box-office, et la façon dont tel ou tel long-métrage va enflammer, à plus ou moins long terme, l’imagination des spectateurs, conserve sans conteste une part de mystère, d’inexplicable. Ainsi, on en vient parfois à se demander comment certains films moyens -voire carrément mauvais- ont pu générer un tel engouement auprès du public. Si l’on prend un peu de recul et que l’on regarde les grandes figures « mythiques » du cinéma fantastique par exemple (les Freddy, Michael Myers, Jason, Chucky et autres Wishmaster…), on se rend vite compte qu’à l’exception du cas Halloween, la plupart de ces boogeymen célèbres se sont surtout démarqués à travers des « suites » plus folles, plus généreuses et plus imaginatives (en un mot plus réussies) que les films originaux.