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Revu sur Disney+ : Rêve de champion

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Le sport et Disney, c'est toute une histoire. La dizaine de films sportifs bien édifiants comme il faut, actuellement disponibles sur Disney+, sont là pour le prouver. Or, comme pour beaucoup de sujets, le studio n'a pas fait figure de précurseur en termes de promotion d'une activité physique soutenue.

Cannes 70 : 13 thèmes musicaux qui valent de l’or

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Cannes 2017 : si les biopics musicaux de Cannes m’étaient contés

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Critique : Fargo

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Les frères Coen sont des maîtres de la création d’univers décalés. A chaque nouveau film, ils excellent dans l’esprit de dérision, cumulant des éléments à première vue bénins jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un humour très noir. Leurs œuvres les plus abouties sont soit celles qui poussent la surenchère des gags au comble de l’absurdité, soit celles qui savent garder les pieds sur terre, en aménageant justement un arrière-plan tragique, propre à la vie courante, au spectacle au ton mordant dont ils détiennent le secret.

Los Angeles Film Critics 2015 : le palmarès

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Après les critiques de New York la semaine dernière, ce sont leurs confrères de la côte Ouest, la Los Angeles Film Critics Association, qui ont annoncé hier leur choix du meilleur du cinéma pour l’année 2015.

Critique : Legend (Brian Helgeland)

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L’iconographie des films de gangster précède de trente à quarante ans l’époque pendant laquelle les frères Kray régnaient en maîtres sur la pègre londonienne. Des héros ténébreux comme Edward G. Robinson, James Cagney, George Raft ou plus tard Humphrey Bogart avaient donné ses lettres de noblesse au genre dans les années 1930, dans des épopées du crime le plus souvent produites par la Warner.

Critique : Arizona Junior

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Il n’est guère farfelu d’affirmer que la bêtise a toujours été un élément primordial des réalisations des Frères Coen. En critiques avisés de leurs contemporains, le duo ne manque jamais une occasion de mettre en scène le vide sidéral qui trotte dans la tête de personnages pathétiques et délirants. C’est en liant cette ironie cruelle à une science implacable du film noir qu’ils ont construit leur légende. Pourtant, au cœur des années 1980, alors que leur carrière débutait juste, ce tourbillon délirant pris une forme bien plus sincère et tendre que ce qui marquera par la suite leurs œuvres diverses. Avec Arizona Junior, le délire est doublé d’une démonstration d’humanité apaisée et chaleureuse, bien loin des glaçants meurtres et complots de Fargo ou du déchaînement furieux de Burn After Reading.

Festival de Cannes 2015 : The Assassin, prix Cannes Soundtrack

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La sélection officielle du Festival de Cannes ne remet pas de prix pour la meilleure musique de film. Depuis trois ans cet outrageux oubli...