Tag: Carlos Saura
Les sorties du 29 mars 2023
Cette semaine, la folie et la raison se livrent une bataille acharnée au sein du programme des sorties cinéma. Qui va la remporter ? A vous spectateurs de trancher, même si l'on trouve des œuvres passionnantes des deux côtés du fil ténu de la respectabilité sociale et mentale.
Les sorties du 7 août 2019
Le creux de la vague estivale n'est pas encore passé. Bien au contraire, on se trouve en plein dedans au cours de cette première semaine d'août, où la plupart des commerces sont fermés à Paris et où les derniers retardataires bénéficient peut-être enfin de quelques jours de repos avant la frénésie de la rentrée.
De retour en salles au mois d’août 2019
Après un mois de juillet excessivement surchargé, celui d'août se présente sous un jour plus abordable en termes de reprises en salles. Les cinéphiles en quête de retrouvailles nostalgiques et de découvertes de trésors cachés pourront ainsi regarder une quinzaine de films de répertoire au fil des quatre mercredis que compte le mois.
Cannes 70 : Viridiana et une couronne d’épines dans une valise
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Cannes 70 : la Palme d’or maudite
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Critique : Peppermint frappé
La réputation de Carlos Saura comme l’un des plus importants cinéastes espagnols ne repose nullement sur ses documentaires musicaux récents. Avant de se reconvertir en ambassadeur besogneux des cultures du monde, le réalisateur avait su s’imposer grâce à un début de carrière fulgurant. Sa collaboration avec Geraldine Chaplin à la fin des années 1960 et au début de la décennie suivante s’était en effet soldée par quelques films remarquables, qui avaient permis à l’actrice de sortir de l’ombre de son père et à son pygmalion de donner un nouveau souffle à une cinématographie nationale plutôt mal en point à la fin du règne franquiste. Cette histoire lourde de fantasmes, de frustrations et de jalousies constitue ainsi une passerelle assez prodigieuse entre ses influences directes – puisqu’elle est dédiée au maître de la transgression Luis Buñuel – et les films qui allaient à leur tour s’en inspirer, comme les derniers thrillers malsains de Pedro Almodovar.