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Test Blu-ray : Shéhérazade

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Shéhérazade est un de ces films fleurant bon les contes des mille-et-une nuits et la romance historique, qui plus est tourné en Scope et en 70MM : la Haute-Définition des années 60 !

Les films les plus attendus en 2016

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Voici quelques unes des attentes pour cette jeune année 2016 qui vient tout juste de débuter de quelques uns de nos rédacteurs. Les choix de...

Test Blu-ray : Bis

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Il existe une mouvance dans la comédie française contemporaine dont la particularité est de laisser porter son intrigue par un ou plusieurs acteurs populaires de façon plus ou moins indolente, comme si leur seule présence à l'écran suffisait à assurer le spectacle pendant une heure et demie et s'attirer les faveurs de la majorité du public.

Test DVD : Big racket

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Spécialiste d’un cinéma brut de décoffrage, tendant parfois vers le joyeux n’importe quoi bien foutraque (7 winchester pour un massacre, Les nouveaux barbares…), Enzo G. Castellari s’est depuis toujours spécialisé dans les bandes d’exploitation violentes et volontiers excessives (voire outrancières). Il n’est donc point étonnant de retrouver ce maestro ès cinéma « d’hommes » aux commandes du très réussi Big racket, polar urbain sévèrement burné tournant à mi-parcours vers le film de vengeance sans concession.

Box-office : les sorties du 4 mars

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Petite semaine, en termes d'entrées au moins, pour les nouveautés de la semaine. Avec 9450 spectateurs dans ses 41 salles franciliennes, Chappie ne domine...

Les sorties du 18 février 2015

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Enthousiasme pour Kingsman : Services secrets, petites réserves pour Vincent n'a pas d'écailles, grosses réserves pour Bis dans nos critiques en ligne... Pour les...

Critique : Bis

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Franck Dubosc et Kad Merad réunis dans le même film, cela ne peut donner rien de bon ! Notre appréhension ne résulte pas tant d’un a priori général à l’égard de la comédie populaire française, mais de l’absence d’évolution de la carrière de ces deux acteurs, qui paraissent incapables de transgresser les limites rigides des personnages caricaturaux grâce auxquels ils ont fait fortune. Dubosc, le bon vivant un brin libidineux, et Merad, le bon bougre qui se démène comme il le peut dans son existence de souffre-douleur, représentent certes une sorte de pilier du genre. Mais leurs frasques finissent rapidement par lasser, faute d’un quelconque renouvellement de leur registre. L’espoir de voir quelque chose d’à peu près frais s’estompe ainsi sans tarder face à cette comédie, qui recycle de surcroît bon nombre de dispositifs éculés du fantastique.

Festival de l’Alpe d’Huez 2015 : le palmarès

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La 18e édition du Festival de la comédie de l'Alpe d'Huez qui s'est ouvert le 14 janvier s'achève aujourd'hui avec la reprise du palmarès,...