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Critique : L’Amour ouf
L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.
Test Blu-ray : Fumer fait tousser
Au début de Fumer fait tousser, le dernier OVNI filmique signé Quentin Dupieux, le spectateur sera donc amené à faire la connaissance d’un petit groupe de super-héros costumés en mode Super Sentai combattant une tortue en latex
Test Blu-ray : Le Petit Nicolas – Qu’est-ce qu’on attend pour...
Le Petit Nicolas - Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? est le premier film d'animation consacré au personnage du Petit Nicolas, et contrairement à la série TV créée en 2009, le film renoue enfin avec le style des dessins de Sempé.
Test Blu-ray : Incroyable mais vrai
Après le pneu psychopathe de Rubber, la veste en Daim de Jean Dujardin ou la mouche géante de Mandibules, l’iconoclaste Quentin Dupieux signe une nouvelle fable surréaliste au concept malin avec Incroyable mais vrai...
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Kaamelott – Premier volet
Si vous me permettez un aparté personnel, j’étais un jeune insouciant de 25 ans à ma découverte de la série Kaamelott en 2005, je suis maintenant un vieux con de 42 balais quand débarque enfin Kaamelott – Premier volet au format Blu-ray 4K Ultra HD.
Test DVD : #JeSuisLà
Alain Chabat en homme-enfant redécouvrant dans l’attente les joies simples de la vie, Blanche Gardin avec un accent du Sud-Ouest, le temps dilué, les rencontres, les rires… #JeSuisLà est un joli film, plein de charme et d’espoir.
Critique : #Jesuislà
A quoi ressemblera le genre de la comédie romantique au 21ème siècle, une fois que les réseaux sociaux et autres applications de partage auront rendu caduc tout échange humain à l'ancienne ? Peut-être à quelque chose qui s'apparenterait à #Jesuislà, le film par le biais duquel le réalisateur Eric Lartigau était d'une certaine façon attendu au tournant, cinq ans après le succès populaire de La Famille Bélier.
Test Blu-ray : Claude Berri réalisateur – Intégrale 21 films
Derrière ses surnoms de « Dernier nabab », de « Parrain », de « Baron » ou de « Pacha » du cinéma français, on comprend bien que la figure de Claude Berri était plutôt quasi-systématiquement assimilée à sa casquette de producteur de films à succès (Tess, L'ours, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Bienvenue chez les Ch'tis...). De fait, on en oublie souvent qu'il était un immense amateur d'Art moderne et contemporain, qu'il fut président de la Cinémathèque Française entre 2003 et 2007... Mais aussi qu'il a réalisé 21 films (20 si l'on considère tout comme lui Jean de Florette et Manon des sources comme un seul film en deux épisodes) entre 1967 et 2009. 21 films qui ont cumulé 47 millions d'entrées en France en l’espace d'un peu plus de quarante ans, treize d'entre eux ayant dépassé le million de spectateurs dans les salles obscures.
Intégrale Claude Berri #20 : Trésor (2009)
Il n’est aucun besoin de s’attarder longuement sur Trésor, tant la médiocrité du film semble faire l’unanimité autour de lui. On se rassurera cela dit en se disant que s’il est bien signé du nom de Claude Berri, l’échec du film n’est en réalité pas réellement imputable au cinéaste, décédé seulement quatre jours après le début du tournage. C'est son assistant, François Dupeyron, qui achèvera le film…
Intégrale Claude Berri #16 : La débandade (1999)
Pour son retour à la chronique de mœurs à forte tendance autobiographique, Claude Berri choisit avec La débandade d’aborder le sujet – fort délicat – de la perte progressive de la virilité, et choisit à nouveau d’aborder le sujet par le biais de la comédie.
Test Blu-ray : Santa & Cie
La France aime Alain Chabat, et a réservé un bel accueil public à Santa & Cie : malgré une date de sortie périlleuse et une promo un poil trop discrète, le film est quand même parvenu à réunir presque deux millions de français dans les salles.
Test Blu-ray : Valérian et la cité des mille planètes
La critique a généralement la dent dure avec Luc Besson, et l’échec cuisant de Valérian et la cité des mille planètes au box-office américain (40 millions de recettes pour un budget de presque 200) en a réjoui plus d’un, provoquant un véritable déferlement anti-Besson sur les réseaux sociaux, tout le monde y allant de son petit bashing à l’encontre du réalisateur du Grand bleu et de ses choix de carrière douteux, le cinéaste apparaissant pour beaucoup d’avantage comme un businessman éclairé que comme un véritable « artiste ». Cela dit, on n’a plus entendu personne souligner depuis que ce même Valérian, avec plus de quatre millions d’entrées en France, s’était placé sur la troisième place du podium des plus gros succès en salles pour cette année 2017, et qu’avec 225 millions de dollars de recettes mondiales, le film est finalement parvenu à rentrer dans ses frais, avant même l’exploitation du film en vidéo.